When You're Strange (Tom DiCillo, 2010)

[Youkali]

Ca sort le 9 juin en France et personne pour me le dire mais quoi???



Taux d'humidité: 100%

[Bite Astrale]

Putain, DiCillo, la lose.

[Youkali]

Non!

[Youkali]

J'ai pas vu son dernier film mais "Johnny Suede" et "Living in Oblivion" ça reste des films cultes de mon adolescence. C'est plutôt cool que ce soit lui qui réalise LE doc sur LE groupe de mon adolescence du coup.

Après j'ai l'impression en voyant les quelques images du trailer (dont je n'avais jamais vu environ 80%) qu'il y aura pas mal de bouts de films mis en scène par Morrison lui-même. Morisson était un grand cinéphile (fan de la nouvelle vague et surtout de Godard, ami avec Demy et Varda etc, etc...)qui se destinait à la réalisation avant de faire de la musique et qui a donc tourné plusieurs films expérimentaux qui étaient détestés par ses profs de UCLA mais appréciés par quelques marginaux - mais non, je ne tente pas d'intéresser les encultés que vous êtes en disant cela.

Puis tfaçon ça peut pas être fondamentalement nul ce documentaire.

[Bite Astrale]

Johnny Suede (1991)
Les bouts que j'en ai vu m'avaient pas épaté.

Living in Oblivion (1995)
Sympa.

Box of Moon Light (1996)
Très bonne répute, pas vu.

The Real Blonde (1997)
Très vite fait.

Double Whammy (2001)
Bidoooooong.

Delirious (2006)
J'ai arrêté les frais.


Et sinon, je crois que c'est un peu un connard en interview.

[Youkali]

Ah oui "Box of Moonlight", j'aimais bien aussi.

[Youkali]

Alors il est possible que j'ai déjà ce film, faut que je vérifie...

[Phèdre]

Bon alors... j'attendais pas mal ce film mine de rien, étant fan de Jim Morrison. J'avais l'espoir de voir enfin une chose puissante sur ce type.
Je ne trouve pas ça nul, c'est paaaas maaal quoi, mais bon ça pisse pas bien loin non plus, pour la raison principale du systématisme narratif, on est toujours dans le même rythme avec la voix off en fond qui vient conter la chose. C'est pas un travail aisé qu'avait à faire l'ami Dicillio, faut le reconnaitre, il s'en sort pas mal dans son entreprise de found footage, mais ça manque quand même réellement d'invention et de prise de risque... Il choisit toujours les moments forts, il ne prend jamais le risque de faire durer un plan pour enfin apercevoir l'homme derrière l'icone, et c'est bien dommage. C'est pas le film qui va faire aimer Morrison à quelqu'un qui s'en fout, c'est plat comme tout, il construit une histoire mais ne s'amuse pas avec la figure à sa disposition sur ces images d'archives.
Les points positifs: c'est pas honteux et on est loin du reportage, on voit Jim Morrison, on voit des images rares en bonne qualité, comme celles de An american pastoral... Voilà, pas grand chose à dire de plus. Même si on sent l'amour que Dicillio porte à Morrison, Ca manque de folie.


2/6
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[Tiny]

yes, jim morrison des dours! je le connais lui!

[Phèdre]

Ta gueule !
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[Pipi]

[Alexia]

[Alexia]

Allez, une photo quand même, trop beau...
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Thalatta!Thalatta!