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Halloween (John carpenter 1978)
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dans le coma profond


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MessagePosté le: Jeu Avr 22, 2010 20:32    Sujet du message: Répondre en citant

Mais qu'est ce que tu veux que je réponde à ça, sincèrement ? Je ne vois juste pas en quoi c'est nanardesque... Et j'ai pas envie de passer des heures à parler de cet aspect là, à défendre le film si tu préfères; dire pourquoi je l'aime oui, mais être toujours sur le mode de réponse à une attaque c'est gavant. C'est bien mieux que je réponde à Forrest quand j'aurai le temps. Puis ça ne me surprend pas du tout que tu n'aimes pas le film, c'est même logique, donc ça ne me titille pas de te répondre longuement sur le sujet. Wink
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Bite Astrale
dans le coma profond


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MessagePosté le: Jeu Avr 22, 2010 21:58    Sujet du message: Répondre en citant

Karl Hungus a écrit:
(la série des scream, par exemple, beaucoup plus récente... La même chose en plus chiant, pompeux et moins inventif. Après, c'est ouvertement un film hommage, mais justement, lui, il est pas prévu pour durer).

L'ambition de Scream n'est pas tant dans le slasher que dans le regard sur le slasher et le film d'horreur (et le 2 encore plus). Au final, même si Halloween en est le modèle, la finalité des deux films n'a rien à voir.

Citation:
Après, le "c'est pas daté, c'est nanardesque", je crois qu'on peut tout simplement pas passer de l'un à l'autre. C'est totalement incompatible avec la définition du nanar. Comme si les imitations rendaient un original ringard... Enfin c'est un contre-sens total, là.

Je précise que quand je parle de nanardesque, je parle pas du film en soi mais de cet effet sonore spécifique.
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Averroès
dans le coma profond


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MessagePosté le: Jeu Avr 22, 2010 23:20    Sujet du message: Répondre en citant

Bite Astrale a écrit:
Karl Hungus a écrit:
(la série des scream, par exemple, beaucoup plus récente... La même chose en plus chiant, pompeux et moins inventif. Après, c'est ouvertement un film hommage, mais justement, lui, il est pas prévu pour durer).

L'ambition de Scream n'est pas tant dans le slasher que dans le regard sur le slasher et le film d'horreur (et le 2 encore plus). Au final, même si Halloween en est le modèle, la finalité des deux films n'a rien à voir.


Bah Halloween en même temps qu'être un film d'horreur, est déjà une réflexion sur le genre (cf tout ce que forest dit sur la façon de filmer, et ma remarque sur le statut de la caméra).

Pour le reste de ce que tu dis sur l'aspect ringard, je vois facilement ce que tu veux dire mais c'est aussi parce que tu as un regard strictement actuel sur les films du passé. Halloween est daté et c'est bien normal, il n'empêche que toute l'esthétique qu'il manifeste est la plus pure qui soit, c'est-à-dire que le fond et la forme sont liés de la manière la plus ténue possible. Moi je vois pas comment on peut ne pas trouver beau chaque travelling de rue, par exemple Smile
C'est cette beauté-là qui est à voir et il faut passer outre les éléments d'époque, qui sont contingents en art. Sinon on n'aime plus rien passé les dix ans de sortie des films, et on finit par dire que M le Maudit est un thriller lent et moche.
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Bite Astrale
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MessagePosté le: Jeu Avr 22, 2010 23:40    Sujet du message: Répondre en citant

Bah non, y a des films plus datés que d'autres...j'ai aucun problème avec Metropolis, que j'ai en DVD...
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Averroès
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Messages: 548

MessagePosté le: Jeu Avr 22, 2010 23:52    Sujet du message: Répondre en citant

Bite Astrale a écrit:
Bah non, y a des films plus datés que d'autres...j'ai aucun problème avec Metropolis, que j'ai en DVD...


Même si on prend "daté" comme tu l'entends, c'est-à-dire dépassé et ringard, Halloween est tout sauf daté, car il est la matrice de films qui n'ont jamais réussi à atteindre son épure et sa portée. Tu dis que tu trouves des scènes ringardes parce qu'on les a déjà vues par des films qui les ont copiées, mais en disant ça tu ne parles pas du film en lui-même, mais de ton propre regard.
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Bite Astrale
dans le coma profond


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Messages: 1063

MessagePosté le: Jeu Avr 22, 2010 23:58    Sujet du message: Répondre en citant

Averroès a écrit:
Bite Astrale a écrit:
Bah non, y a des films plus datés que d'autres...j'ai aucun problème avec Metropolis, que j'ai en DVD...


Même si on prend "daté" comme tu l'entends, c'est-à-dire dépassé et ringard, Halloween est tout sauf daté, car il est la matrice de films qui n'ont jamais réussi à atteindre son épure et sa portée. Tu dis que tu trouves des scènes ringardes parce qu'on les a déjà vues par des films qui les ont copiées, mais en disant ça tu ne parles pas du film en lui-même, mais de ton propre regard.

J'ai jamais prétendu le contraire, à vrai dire...je précise même d'entrée que je l'ai découvert sur le tard.
Et sinon, je dis pas tant qu'il est ringard parce qu'il a été copié jusqu'à plus soif (même si connaître les rouages me fout en l'air l'appréciation du film, mais encore une fois ça c'est moi), mais qu'il est ringard dans son rythme et parfois dans sa technique (les effets sonores au synthé).

Après, c'est un problème que j'ai globalement sur tous les Carpenter, je pense que c'est LE cinéaste dont les films ont le plus morflé avec le temps.
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Carton
dans le coma profond


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MessagePosté le: Lun Mai 31, 2010 13:32    Sujet du message: Répondre en citant

Bite Astrale a écrit:
Prépare-toi à la déception, Toncar.


Bah non c'est très bien ce film. J'ai même été surpris vu que je m'étais préparé à un film un peu limite, un peu kitsch ou un peu grotesque. Et puis pas du tout, il est plutôt sec, d'apparence simple et assez fascinant (la scène où il fracasse la porte du placard où se trouve la fille, c'est filmé assez cash, sans fioriture, la lumière s'allume et s'éteint, on passe d'un éclairage sombre et fantastique à un éclairage frontal et réaliste, et cette contre plongée qui fait qu'on est dans le point de vue de la victime à ce moment là c'est assez fort). Je m'en faisais vraiment une autre idée (par exemple j'ai été très surpris de voir que Myers apparait souvent en extérieur et en plein jour).

Là où j'ai vraiment accroché, c'est sur la volonté du film de ne pas trancher entre fantastique et thriller, entre la figure du tueur en série et celle du Boogeyman. Au niveau de la mise en scène, c'est par exemple les apparitions/disparitions "simples" du tueur qui va se cacher derrière un buisson, dans le plan, et d'autres ou il disparait "magiquement" dans un champ/contre-champ, dans le raccord. Pareil dans sa représentation, parfois crue et réaliste (lui dans une voiture), parfois de manière plus expressionniste (lui devant une maison éclairée comme dans L'Exorciste). Cette ambivalence semble s'estomper à mesure que le film avance, choisissant plus clairement le fantastique (Loomis par exemple, qui bien que médecin n'arrête pas de parler de démon et de mort qui plane, je me disais que vraiment c'était un mauvais médecin pour parler comme ça d'un malade mental, mais finalement au contraire, son discours c'est "je l'ai étudié pendant 15 ans, et j'ai une certitude scientifique qu'il s'agit d'un démon". De ce point de vue, la fameuse scène où le tueur se relève comme un robot fonctionne complètement puisqu'elle arrive à un point du film où on a complètement perdu tout rapport réaliste au tueur), mais le passage furtif du masque qui tombe, qui nous révèle le visage du tueur et fait raccord avec le visage de l'enfant du début, remet une touche humaine à Myers et enfonce le clou de l'ambiguïté.

C'est très beau d'ailleurs tout le traitement du visage, qu'on ne voit pas clairement pendant toute une partie du film, d'abord hors champ, puis cadré furtivement, puis finalement clairement à l'image, c'est le point de fascination de tout le film, tout comme dans la première scène en vue subjective puis finalement le contre-champ sur le visage du petit ange blond, la sidération de ce premier visage c'est très fort, et je me dis que le désir du spectateur de retrouver cette émotion du dévoilement du visage compte beaucoup dans la réussite du personnage et de son masque. S'il y a bien un désir de voir du spectateur, une curiosité morbide, ce n'est pas tant vers la violence ou l'érotisme qu'autour du ce visage que ça s'organise (voir le très beau plan ou le visage masqué sort doucement de l'ombre). Et puis Loomis qui le décrit à un moment, un visage pale, sans expression, et un regard noir et vide, c'est finalement le masque qu'il décrit, avant même que le tueur l'ai jamais enfilé, comme si le masque avait toujours fait partie du personnage.

J'aime aussi la distance du film avec la psychologie, où rien n'est clairement motivé, ni le rapport au sexe, ni le rapport à l'enfance, ni le rapport à la culpabilité et au châtiment, ça reste au niveau du mythe (beaucoup de mystère dans ce qui pousse Myers à faire ce qu'il fait. Et là j'apprends sur Wiki que la meuf c'est en fait sa soeur ? J'ai raté ça ou c'est carrément pas dit dans le film ?), et ça se tend au niveau de la mise en scène, avec tout ce travail autour du point de vue sur lequel je ne reviens pas mais qui est clairement l'aspect à la fois le plus évident et le plus fort du film.

Et puis aussi la place des filles, joli portrait du trio dans la première partie, où on parle des mecs mais où ils ne sont jamais là, seulement au téléphone, puis finalement y'en a un mais très effacé, réduit à se paire de lunette. D'ailleurs quand le tueur se déguise pour prendre sa place, un drap et la paire de lunette par dessus font très bien l'affaire. Scène très drôle finalement, le type n'existe tellement pas que ses lunettes suffisent à faire croire qu'il est encore dans la pièce. Par contre les filles elles sont bien présentes, solides, réelles, dans les dialogues et dans le plan, Carpenter visiblement a une attention particulière pour elles, la volonté d'en faire autre chose que de la chair à slasher.

Le montage final, succession de lieux vides mais potentiellement tous habités par le monstre, comme s'il allait hanter désormais tous les décors de film du genre, pouvant potentiellement surgir de n'importe quelle zone d'ombre, ça aussi c'est quelque chose.

5/6.
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La Quadrature
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Averroès
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Inscrit le: 12 Fév 2010
Messages: 548

MessagePosté le: Lun Mai 31, 2010 13:53    Sujet du message: Répondre en citant

le yougo' a écrit:

J'aime aussi la distance du film avec la psychologie, où rien n'est clairement motivé, ni le rapport au sexe, ni le rapport à l'enfance, ni le rapport à la culpabilité et au châtiment, ça reste au niveau du mythe (beaucoup de mystère dans ce qui pousse Myers à faire ce qu'il fait. Et là j'apprends sur Wiki que la meuf c'est en fait sa soeur ? J'ai raté ça ou c'est carrément pas dit dans le film ?), et ça se tend au niveau de la mise en scène, avec tout ce travail autour du point de vue sur lequel je ne reviens pas mais qui est clairement l'aspect à la fois le plus évident et le plus fort du film.
5/6.


La fille du début, c'est sa soeur. L'héroïne non (enfin je crois... c'est sa soeur symbolique en tout cas, celle qu'il fantasme, étant donné qu'elle est très maternelle). Le film n'est pas bavard sur les motifs du tueur, effectivement. Mais c'est suggéré assez clairement qu'à la base sa soeur l'a délaissé pour un mec et il s'est senti seul, d'autant plus que les parents n'ont pas l'air d'être là. D'ailleurs, l'absence des parents est criante pendant tout le film, à l'exception notable du flic, mais on le voit justement en tant que flic, peu en tant que parent (cf le gars qui remarque pas qu'elles ont fumé et qui retourne vite fait au casse). J'avais pris le film comme une critique plus ou moins directe de cet abandon à eux-mêmes que les parents infligent à leurs enfants et adolescents. Une thématique qui en fait un teen movie au même titre qu'un Elephant, par exemple.


Citation:

Et puis aussi la place des filles, joli portrait du trio dans la première partie, où on parle des mecs mais où ils ne sont jamais là, seulement au téléphone, puis finalement y'en a un mais très effacé, réduit à se paire de lunette. D'ailleurs quand le tueur se déguise pour prendre sa place, un drap et la paire de lunette par dessus font très bien l'affaire. Scène très drôle finalement, le type n'existe tellement pas que ses lunettes suffisent à faire croire qu'il est encore dans la pièce. Par contre les filles elles sont bien présentes, solides, réelles, dans les dialogues et dans le plan, Carpenter visiblement a une attention particulière pour elles, la volonté d'en faire autre chose que de la chair à slasher.


LOL pour le gars à lunettes... le seul meurtre du film qui est ouvertement drôle, même si on fait moins les malins quand le tueur le cloue au mur avec des plans sur sa lame, à la Psychose...
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Krotkaïa



Inscrit le: 03 Mar 2010
Messages: 186

MessagePosté le: Lun Mai 31, 2010 14:09    Sujet du message: Répondre en citant

Averroès a écrit:
le yougo' a écrit:

J'aime aussi la distance du film avec la psychologie, où rien n'est clairement motivé, ni le rapport au sexe, ni le rapport à l'enfance, ni le rapport à la culpabilité et au châtiment, ça reste au niveau du mythe (beaucoup de mystère dans ce qui pousse Myers à faire ce qu'il fait. Et là j'apprends sur Wiki que la meuf c'est en fait sa soeur ? J'ai raté ça ou c'est carrément pas dit dans le film ?), et ça se tend au niveau de la mise en scène, avec tout ce travail autour du point de vue sur lequel je ne reviens pas mais qui est clairement l'aspect à la fois le plus évident et le plus fort du film.
5/6.


La fille du début, c'est sa soeur. L'héroïne non (enfin je crois... c'est sa soeur symbolique en tout cas, celle qu'il fantasme, étant donné qu'elle est très maternelle). Le film n'est pas bavard sur les motifs du tueur, effectivement.


Laurie c'est véritablement la soeur de Mike; elle a été adoptée par la famille Strode après la mort de ses parents.
Mais de mémoire, je ne suis même pas certain que l'on puisse le comprendre en voyant le film. Clairement, ce n'est pas ce qui intéresse Carpenter...Il a dit plusieurs fois qu'il connaissait les interprétations psychanalytiques que l'on pouvait avancer pour le film, mais qu'il ne les partageait pas , en tous cas que ce n'était pas son ambition sur ce film...
(Et c'est très bien ainsi. A la limite, ça reste au niveau de l'inconscient et ça n'est pas utilisé pour donner une substance un peu artificielle comme on peut en trouver dans de trop nombreux films de genre...).
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L'Homard



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MessagePosté le: Lun Mai 31, 2010 14:10    Sujet du message: Répondre en citant

6/6 !
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Averroès
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Inscrit le: 12 Fév 2010
Messages: 548

MessagePosté le: Lun Mai 31, 2010 14:27    Sujet du message: Répondre en citant

Krotkaïa a écrit:
Averroès a écrit:
le yougo' a écrit:

J'aime aussi la distance du film avec la psychologie, où rien n'est clairement motivé, ni le rapport au sexe, ni le rapport à l'enfance, ni le rapport à la culpabilité et au châtiment, ça reste au niveau du mythe (beaucoup de mystère dans ce qui pousse Myers à faire ce qu'il fait. Et là j'apprends sur Wiki que la meuf c'est en fait sa soeur ? J'ai raté ça ou c'est carrément pas dit dans le film ?), et ça se tend au niveau de la mise en scène, avec tout ce travail autour du point de vue sur lequel je ne reviens pas mais qui est clairement l'aspect à la fois le plus évident et le plus fort du film.
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La fille du début, c'est sa soeur. L'héroïne non (enfin je crois... c'est sa soeur symbolique en tout cas, celle qu'il fantasme, étant donné qu'elle est très maternelle). Le film n'est pas bavard sur les motifs du tueur, effectivement.


Laurie c'est véritablement la soeur de Mike; elle a été adoptée par la famille Strode après la mort de ses parents.
Mais de mémoire, je ne suis même pas certain que l'on puisse le comprendre en voyant le film. Clairement, ce n'est pas ce qui intéresse Carpenter...Il a dit plusieurs fois qu'il connaissait les interprétations psychanalytiques que l'on pouvait avancer pour le film, mais qu'il ne les partageait pas , en tous cas que ce n'était pas son ambition sur ce film...
(Et c'est très bien ainsi. A la limite, ça reste au niveau de l'inconscient et ça n'est pas utilisé pour donner une substance un peu artificielle comme on peut en trouver dans de trop nombreux films de genre...).


Mais c'est pas elle la fille du début qui se fait poignarder... si? c'est très très mal foutu si c'est ça...
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Carton
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Inscrit le: 09 Fév 2010
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MessagePosté le: Lun Mai 31, 2010 15:12    Sujet du message: Répondre en citant

Non apparemment ce serait une autre sœur...
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Krotkaïa



Inscrit le: 03 Mar 2010
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MessagePosté le: Lun Mai 31, 2010 16:09    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, c'est une autre soeur et en fait Mike revient pour tuer le seul membre encore vivant de sa famille...Mais enfin, cet aspect c'est pas vraiment explicite dans le film et ça n'a pas une importance fondamentale je pense...
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Carton
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Inscrit le: 09 Fév 2010
Messages: 1952

MessagePosté le: Lun Mai 31, 2010 16:17    Sujet du message: Répondre en citant

Je dirai même que c'est mieux si on n'a pas ce genre d'explication.
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Averroès
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MessagePosté le: Lun Mai 31, 2010 16:19    Sujet du message: Répondre en citant

Ok merci.
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