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Hello--Kitty dans le coma profond

Inscrit le: 03 Nov 2010 Messages: 2053
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Posté le: Ven Avr 05, 2013 16:07 Sujet du message: |
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Baldanders a écrit: | Cahiers du Cinéma a écrit: | La Maison de la radio : défi relevé |
Cahiers du Cinéma a écrit: | Ulrich Seidl : sinistre corbeau |
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Ces deux phrases à la suite m'ont rappelé ce film :
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Zahad le rouge dans le coma profond

Inscrit le: 11 Fév 2010 Messages: 1968
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Posté le: Ven Avr 12, 2013 14:12 Sujet du message: |
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Vincent McDo dans les Cahiers des Copains :
_________________ "Si je m'en sors bien, je serai peut-être vendeur aux 3 Suisses." |
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Hello--Kitty dans le coma profond

Inscrit le: 03 Nov 2010 Messages: 2053
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Posté le: Jeu Avr 18, 2013 17:04 Sujet du message: |
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Il écrit dans Libération, maintenant, Bozon ? |
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Zahad le rouge dans le coma profond

Inscrit le: 11 Fév 2010 Messages: 1968
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Posté le: Mar Juin 18, 2013 0:01 Sujet du message: |
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 _________________ "Si je m'en sors bien, je serai peut-être vendeur aux 3 Suisses." |
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Zahad le rouge dans le coma profond

Inscrit le: 11 Fév 2010 Messages: 1968
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Posté le: Ven Juin 21, 2013 9:42 Sujet du message: |
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Le croquemort s'auto-congratule, les vautours l'en félicitent. _________________ "Si je m'en sors bien, je serai peut-être vendeur aux 3 Suisses." |
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Baldanders dans le coma profond

Inscrit le: 23 Déc 2010 Messages: 938
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Posté le: Ven Juin 28, 2013 9:39 Sujet du message: |
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Vincent Ostria (l'Humanité) a écrit: |
Retour du tandem Vince Vaughn-Owen Wilson, pour le meilleur et surtout pour le pire. |
Aurélie Raya (Paris Match) a écrit: |
Après "Sérial Noceurs", Vince Vaughn et Owen Wilson sont de retour. Pour le meilleur et surtout pour le pire. |
et sinon Jacky Goldberg (Inrocks) à propos de Before Midnight a écrit: |
On est en droit d’attendre autre chose d’un film, et de préférer, sur le même sujet, "40 ans, mode d’emploi" de Judd Apatow, moins prétentieux dans sa forme, et beaucoup plus riche. |
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Baldanders dans le coma profond

Inscrit le: 23 Déc 2010 Messages: 938
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Posté le: Mer Juil 03, 2013 10:12 Sujet du message: |
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Citation: | On n’a pas encore lu le livre bien entendu, mais on attend le prochain roman de Laurent Obertone avec impatience prévu pour le 22 août, pas tellement parce qu’on a lu, aimé (si on peut dire) la France Orange Mécanique, son ouvrage de salut public controversé (et vendu par wagons) sur la violence en France, mais parce qu’on a hâte de connaître ce qu’un journaliste et romancier peut faire de la vie et de l’œuvre de Anders Behring ou Brevik. Ne nous cachons pas : cette tuerie nous effraie et nous épate. On voudrait se mettre à courir sur l’île de la mort, se planquer dans les bosquets, entendre les coups de feu, puis se balader avec Behring dans sa ferme biologique. On voudrait l’entendre écrire son livre de 2000 pages, surfer sur le net, aller à des congrès de nazis solitaires. Par-delà la polémique Millet-like que ne manquera pas de déclencher le roman, compte tenu du précédent ouvrage d’Obertone ("complaisance pour la violence, portrait flatteur pour le tueur", on s’y voit déjà), on y sera pour le voyeurisme et pour la force du document.
http://fluctuat.premiere.fr/Diaporamas/Selection-de-l-ete-13-livres-pour-ne-pas-debronzer-idiot-3790061
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Trollope dans le coma profond
Inscrit le: 04 Oct 2011 Messages: 637
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Posté le: Jeu Juil 04, 2013 10:34 Sujet du message: |
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ah ouais, c'est pas mal dans le genre. |
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Zahad le rouge dans le coma profond

Inscrit le: 11 Fév 2010 Messages: 1968
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Posté le: Mer Sep 11, 2013 8:07 Sujet du message: |
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Tiens, Louis Guichard est un âne : "Quelle que soit la qualité de Sacro Gra, Lion d'or 2013 de Venise, ce documentaire italien de Gianfranco Rosi sur le périphérique de Rome ne remplira pas la mission de représentation de la Mostra auprès du grand public."
Surtout, ne récompensons que les films qui rayonnent, qui retentissent, qui zimboumboument, qui grand-publiquent ; et laissons les petits jouer dans le petit bassin, ils n'intéressent personne.
Et surtout, surtout, ne récompensons pas les films sur leur qualité.
Merci Télérama.
http://www.telerama.fr/cinema/mostra-de-venise-le-risque-de-la-confidentialite,101936.php
Mais le vrai, vrai souci, c'est que ça les emmerde, tout de même, que ce soit un documentaire, hein. On le sentait bien, ils n'osent pas le dire directement, ils passent par des péri-phrases, mais on voit bien où est le problème... _________________ "Si je m'en sors bien, je serai peut-être vendeur aux 3 Suisses." |
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Baldanders dans le coma profond

Inscrit le: 23 Déc 2010 Messages: 938
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Posté le: Sam Nov 09, 2013 16:12 Sujet du message: |
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L'article n'est pas infâme, c'est juste que la dernière phrase m'a beaucoup fait rire. Parle-t-elle de la critique de cinéma ?
Citation: | Will Ferrell, ou le parfait abruti
LE MONDE | 09.11.2013 à 11h46 | Isabelle Regnier
Excellent festival qui règle chaque année, en novembre, le pouls de la capitale autrichienne sur celui des nouvelles percées de la cinéphilie internationale, la Viennale rendait hommage cette année à Will Ferrell. Lorsque Hans Hurch, le directeur du festival, lui en a proposé l'idée, l'acteur américain n'a d'abord pas compris. Il s'est dit touché, a envoyé quelques propositions pour affiner la liste de films établie par le festival, et offert d'en collecter lui-même des extraits. Comprenant que son interlocuteur imaginait une sorte de super-clip sur son travail, le patron de la cinéphilie viennoise a dû lui expliquer qu'il comptait montrer les films dans leur intégralité, ce qui faillit, de l'autre côté de l'Atlantique, faire tomber le comédien de sa chaise.
PERSONNAGE ARCHÉTYPAL D'AMÉRICAIN MOYEN
Acteur, scénariste, producteur, initiateur de la plupart de ses films, Will Ferrell travaille consciemment à produire une oeuvre dont la cohérence n'a pas échappé à la frange de la critique qui s'y intéresse. De là à imaginer qu'une institution la mette à l'honneur, il y a un pas qu'il n'avait osé franchir, même dans ses rêves les plus fous.
Immense star aux Etats-Unis, Will Ferrell l'est devenu parce qu'il est extraordinairement drôle. Le personnage archétypal d'Américain moyen « pétri d'une confiance en lui qui ne repose sur absolument rien », comme il aime à le décrire, et qu'il décline en toutes sortes d'avatars (coureur automobile, patineur artistique, présentateur à la télévision locale, proxénète…), a fait de lui une icône pop.
Façonné dans le cadre du « Saturday Night Live », la célèbre émission comique où il a passé les sept premières années de sa carrière, ce personnage d'abruti content de lui a prospéré sur grand écran dans des films comme Ricky Bobby : roi du circuit, Les Rois du patin, ou Frangins malgré eux.
HÉRITAGE DE GROUCHO MARX
Longs-métrages dans lesquels l'héritage de Groucho Marx, de Peter Sellers, et de quelques autres de ces grands comiques qui alliaient si parfaitement le geste à la parole, se fondent dans des contextes éminemment contemporains.
En France, ses films restent peu connus. S'ils sont vénérés par une partie de la critique, notamment pour la manière dont la puissance d'improvisation de l'acteur se canalise dans un art consommé du « slow-burn » (comique à combustion lente), ils ont jusqu'à présent été peu ou mal vus (la faute à Paramount qui en distribue la plupart, mais considère la France comme un marché insignifiant).
« Nous n'avons pas vraiment conscience de la réception de nos films hors des pays anglo-saxons », déplore l'acteur, qui nuance : « Il y a en Europe des petites cellules, ici et là, qui nous ont apporté une reconnaissance dont ne nous a jamais gratifiés la critique américaine, celle d'avoir un supplément d'intelligence. Bien sûr, nos films sont des comédies commerciales ; bien sûr, notre humour est tapageur ; mais nous tentons toujours, surtout avec Adam McKay, Une nuit au Roxbury, Ricky Bobby : roi du circuit, Présentateur vedette et Légendes vivantes] d'y glisser un peu de subversion. »
CÉLÈBRES IMITATIONS DE GEORGE BUSH
A Vienne, alors qu'il répondait aux questions d'un public électrisé, un des spectateurs lui a demandé de signer la thèse qu'il venait de terminer sur sa collaboration avec Adam McKay. Touché par la chaleur de cet accueil, Will Ferrell s'est livré à un numéro d'improvisation de haute volée, s'inspirant des questions de la modératrice sur l'Autriche et les Américains et des rares objets disposés sur l'estrade : une orchidée géante qu'il a confondue avec un edelweiss, une bouteille d'eau qui devint le support d'un gag fabuleux sur sa « germanophobie » présumée, mot-valise ambigu fusionnant la peur du germanique, et celle des microbes (« germs » en anglais)…
Si Will Ferrell fait à ce point feu de tout bois, c'est que son grand sujet n'est autre que le vide. Vide de la politique, auquel il a donné un corps avec ses célèbres imitations de George Bush, qui lui a aussi inspiré un projet de film (jamais réalisé) en 2008, quand les primaires démocrates l'ont laissé sans voix : « Les candidats ne disaient rien ! C'était fou. J'ai pensé alors faire un film sur un homme politique qui ferait un discours dans lequel il ne dirait strictement rien de concret. Une fois de temps en temps, il exprimerait une idée intéressante mais pour la disqualifier aussitôt. Le film ne s'est pas fait… »
Dans son nouveau film, Légendes vivantes (suite de Présentateur vedette, sortie prévue au printemps 2014), il creuse le vide de l'information en continu, tonneau des Danaïdes que comblent sans relâche les journalistes de CNN et consorts…
Cette obsession trahit, chez cet homme se décrivant comme tranquille, une angoisse qui le rattache à la grande confrérie des acteurs comiques. C'est à cette aune qu'il faut envisager la cohorte de ses personnages d'abrutis fiers de leur inconsistance. Ils sont les empreintes du néant dans lequel nous nous débattons.
Isabelle Regnier |
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Tiny dans le coma profond

Inscrit le: 08 Fév 2010 Messages: 2209 Localisation: Over the top
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Posté le: Mar Nov 12, 2013 13:23 Sujet du message: |
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nan je pense pas. elle parle du Grand Néant de la vie plutôt, non? ce grand cirque improbable, incernable qu'il fait bon dézinguer dans les dîners parisiens (et dont les journaleux sont les plus grands tributaires). |
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Zahad le rouge dans le coma profond

Inscrit le: 11 Fév 2010 Messages: 1968
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Posté le: Jeu Déc 19, 2013 18:11 Sujet du message: |
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Karloff sur FDC a je crois relevé la meilleure saloperie jamais publiée : si l'on en croit Allociné, Benjamin De Lajarte, pisse-copies à Transfuge, a réalisé la critique du film Les Jeux des nuages et de la pluie réalisé par Benjamin De Lajarte-lui-même-maître-du-monde-de-l'enfumage.
Évidemment, la critique est extatique, met quatre étoiles, et écrit ces mots humbles, les larmes aux yeux, des tremblements dans la plume : "La virtuosité du scénario et la fluidité des montages parallèles, le casting très inattendu (...) imposent Benjamin De Lajarte comme une nouvelle voix talentueuse du cinéma français contemporain."
http://www.allocine.fr/film/fichefilm-197436/critiques/presse/
MAIS T'INQUIÈTES QU'ON VA TE JARTER, BENJAMIN. _________________ "Si je m'en sors bien, je serai peut-être vendeur aux 3 Suisses." |
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Baldanders dans le coma profond

Inscrit le: 23 Déc 2010 Messages: 938
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Posté le: Jeu Déc 19, 2013 19:05 Sujet du message: |
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Nooon, pas possible. J'y crois pas. C'est une blague ? Pince-moi. Aïe. Arrête ça tout de suite. |
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Zahad le rouge dans le coma profond

Inscrit le: 11 Fév 2010 Messages: 1968
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Miguel67

Inscrit le: 03 Jan 2014 Messages: 5
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Posté le: Ven Jan 03, 2014 1:25 Sujet du message: une couille d'halluciné |
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non, c'est une coquille hallucinée d'allociné
vu sur plusieurs trucs - copié coller de premiere.fr
Transfuge ( Louis Seguin )4La vituosité du scénario et la fluidité des montages parallèles, le casting très inattendu (...) imposent Benjamen De Lajarte comme une nouvelle voix talentueuse du cinéma français contemporain.> Ses dernières critiques : (La Vie Rêvée de Walter Mitty) (La Jalousie)
Dernière édition par Miguel67 le Ven Jan 03, 2014 1:40; édité 1 fois |
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