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Pour en finir avec Jerzy P comme Perdu Pervers Perrave, pêle-mêle
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Kuni l'hungus
dans le coma profond


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MessagePosté le: Ven Déc 21, 2012 0:50    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Dernière édition par Jerzy Pericolon, édité 15 fois
Laughing

L'inconscient (pour reprendre la position de baldie) ça se déguise, ça se déguise pas?

si le texte fait parler l'inconscient de sartre et que c'est le texte, qui est un reproche à peine déguisé... ca veut pas dire que Sartre l'effectue consciemment. Tu l'as bien compris, puisque tu le mentionnes.


Sophisme dans le premier paragraphe: tu glisses de ce que le texte pose en ombre chinoise et ce que Sartre pose consciemment ("le" poser, "le, c'est quoi? Pouruqoi il poserait consciemment la même chose et dans ce but? Qu'est ce qui le dit?). Tout le reste tourne autour de ce glissement.
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Jerzy Pericolon
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MessagePosté le: Ven Déc 21, 2012 2:05    Sujet du message: Répondre en citant

Pour Kuni:

La question débattue, c'est: "adresser un reproche à peine déguisé", est-ce de l'ordre de l'inconscient, de ce qui n'est pas délibéré, prémédité, mais qui resterait en dehors du champ de l'intention du scripteur, en dehors de la possibilité d'une saisie, par le scripteur, d'une stratégie réfléchie?


"L'inconscient", selon Freud, c'est le produit d'un refoulement, par la conscience, hors de son champ.
Il y a inconscient, à titre de poche résiduelle provisoirement opaque (avant sa "mise à jour" éventuelle par une "cure analytique"), parce que la conscience "refoule", place ce qu'elle ne veut pas entendre, voir, dans une zone obscure d'elle-même.
Ce sont des forces de désir, ou de peur, qui font retour, déguisées, en effet, dans une structure langagière (sous forme de lapsus, de dérapages, de désordonnancement, perturbations, de l'énoncé).
Ce "déguisement" n'a rien à voir avec le "déguisement" qui nous préoccupe ici, surtout si on parle d'adresser un reproche "à peine déguisé".

Ici, on considère un effet de rhétorique, qui consiste à "déguiser" au sens de "faire mine", "dissimuler à peine", pour mieux exhiber: c'est fait pour être entendu, lu, et compris, moyennant un jeu d'esprit, une manière subtile d'exprimer, qui seront appréciés, par des lecteurs ou des auditeurs qui "savent entendre": cad qui sont rompus aux subtilités de la rhétorique.
Comme dit plus haut: "je fais mine de vous louer, mais derrière mon éloge, je vous adresse des piques assassines. "je feins de vous louer pour mieux vous blâmer", "je simule un acquiescement à vos propos pour mieux exprimer mon désaccord", etc etc etc:
tout ceci est de l'ordre d'un déguisement dans une logique de l'intention, de la préméditation, bref, de l'Art de la rhétorique, qui consiste à savoir faire passer des "double-sens", des "sous-entendus", dans une tournure sophistiquée.

ça ne se confond en rien avec le "déguisement" d'un désir, d'une peur, s'exprimant sous la forme d'un lapsus, d'un dérapage, échappant à l'intention du scripteur ou du proférateur. Dans ce cas ci: le déguisement révèle, éventuellement, quelque chose qu'on redoute de dire, d'entendre, de comprendre, qu'on "refoule". C'est le travail de l'inconscient, de ronger le champ de conscience, de l'ébrécher, en laissant échapper des "couacs", des horreurs qui, chassées par la porte, reviennent par la fenêtre.


Dans le déguisement rhétorique, c'est tout le contraire: ce qui est déguisé est une stratégie de discours concertée, délibérée, maitrisée, préméditée, consistant à "cacher" pour mieux "exhiber". C'est fait pour être entendu, compris, capté, lu, décrypté. C'est le plaisir du "jeu" sur les structures langagières: tournures ambigües, constructions sous forme de paradoxes, etc etc.
Exprimer un reproche à peine déguisé, faire surgir un blâme dans l'éloge, ici, ça ne peut être, si on acquiesce à la lecture de baldanders, qu'une stratégie rhétorique, délibérée, combien classique, comme déplié plus haut, n'impliquant aucune espèce d'inconscient, de refoulement, de désir d'occulter, enfouir, dissimuler.

Baldanders n'aurait aucun mérite à exhiber une "motivation inconsciente" du scripteur, ici, par le seul examen de la "structure des phrases" : pour cette simple raison que tout s'y présente, dans les termes mêmes de sa lecture, comme étant fait, conçu, agencé, délibérément, pour permettre cette entente, cette compréhension, par le seul examen un peu attentif de la structure des phrases.

Les ressorts de la lecture de Baldanders, comme montré plus haut, sont un jeu - apparemment insu de lui-même (?), sur deux plans convoqués en alternance, et parfois en même temps, qui s'excluent mutuellement: l'intention et la non-intention, le conscient et l'inconscient, ce qu'on veut effectivement dire, et ce qu'on voudrait taire, refouler.
Il crée un faux mystère d'inconscient: ce que sartre voudrait, selon lui, refouler, il le dit au contraire explicitement - dans et par la démonstration de baldanders - par un artifice rhétorique fait pour être décodé. Baldanders loge ce faux mystère dans une certaine idée, d'un Texte inconscient, qui organiserait ou fomenterait tout seul, de manière autonome, des "doubles sens", à l'insu du scripteur. Ce qui, dans le cas considéré, comme montré plus haut, est une simple contradiction logique de sa part.

Il n'y a rien qui implique un "inconscient" quelconque, et encore moins d'un Texte. Tout ce qui serait impliqué ressortit de la logique intentionnelle des effets de rhétorique les plus classiques.


Le seul problème qui subsiste, dès lors, et qui peut nous préoccuper encore, c'est la Lecture elle-même de Baldanders, sa stratégie. C'est Baldanders, qui use de tout un savoir rhétorique, non douteux, brillant même, destiné à "prouver" que Sartre, de façon inconsciente, tresserait des blâmes en forme d'éloge.

Cette possibilité (de l'inconscient) se révélant, dans les termes de mon explication, contradictoire, le fruit d'une construction rhétorique de sa part, jouant sur deux plans s'excluant mutuellement, mais qu'il enchevêtre (l'intention et la non intention, le délibéré et le refoulé), ce qui subsiste de cet exercice, à titre de question toujours sans réponse, c'est cette 'intention ou stratégie interprétative de baldanders, donc: ce n'est pas douteux, il le dit lui-même, qu'il se repose sur un a priori, hétérogène au texte, une information, qui est déjà une interprétation, concernant la nature réelle ou supposée des relations de MP et Sartre, leurs conflits, etc.
Je dis simplement que c'est à partir de cet horizon de sens, cette pré-compréhension, que Baldanders organise son analyse des "éléments du discours", sur ce postulat faux (pour les raisons expliquées plus haut) d'un inconscient textuel. Animé par l'intime conviction de motifs psychologiques précis, et pré-supposés par lui, cad antérieurs au texte mais que le la lecture de ce texte "confirme".


Dernière édition par Jerzy Pericolon le Ven Déc 21, 2012 7:57; édité 4 fois
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Jerzy Pericolon
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MessagePosté le: Ven Déc 21, 2012 2:19    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai essayé, ici, de satisfaire l'exigence de rigueur de Baldanders.

Pour quelque chose, la signification réelle ou supposée d'un texte précis de Sartre, dont l'enjeu est, qu'on le concède, quand-même, assez limité.
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Jerzy Pericolon
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MessagePosté le: Ven Déc 21, 2012 2:30    Sujet du message: Répondre en citant

rideau, ferme-t-on?
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Kuni l'hungus
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MessagePosté le: Ven Déc 21, 2012 11:18    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
L'autre soir, Jerzy jouait son propre rôle sur Enculture. Quand, tout à coup, vers la fin de la représentation, quelqu'un l'a interpellé depuis la shoutbox. Un lecteur, mécontent du spectacle, a crié : « On comprend pas ce que tu dis, Jerzy !!! » Jerzy a continué de parler comme si de rien n'était, ou presque. Quelques instants plus tard, le même lecteur est parti d'un smiley mauvais. Puis il s'est mis à huer, suivi par d'autres lecteurs. C'était violent.
En quittant le forum, on avait la gorge serrée et les larmes aux yeux. D'émotion et de colère mêlées. Dans tous les sens du terme, on était choqués. On a eu besoin d'écrire ce qui s'était passé. Depuis le début.
Ça commence quand on arrive sur Enculture. On est rassurés : même anonymes, on lit bien les interventions. En attendant qu’il se passe quelque chose, on feuillette le programme où il est écrit « Spectacle : Jerzy Pericolosospore, d'après Jerzy Pericolosospore ».
Jerzy apparaît, commence à dire son texte. Les gens n'en finissent pourtant plus d'arriver pour voir la bête. Il n'y a plus de quatrième mur. Les gens sont venus pour écouter Jerzy, et voir Jerzy. Nous aussi. Le texte, c'est bien celui de Jerzy Pericolosospore. Mot pour mot. Mais seulement ceux prononcés par Jerzy. Les autres personnages n’existent pas. Durant tout le spectacle, Jerzy s'adresse à Kuni L’hungus, à Borges et à Badlanders qui, absents, ne lui répondent jamais. Jerzy Pericolosospore fait du dialogue de forum un simple monologue, où chacun pourtant est pris à partie. C'est un parti pris.
Les derniers lecteurs sont à peine arrivés que d'autres commencent à partir. Le temps que dure la représentation, des lecteurs s'en vont ; assez peu par rapport à ceux qui restent, assez quand même pour perturber le spectacle.
Jerzy pleure. Ça suffit de l'entendre ! Jerzy Pericolosospore, ça ne peut pas être ça. Les smileys toussent, regardent l'heure. Le temps ne file pas assez vite. C'est difficile de rester concentré. On arrive au bout, ouf ! Ça ne va pas encore. Des lecteurs dérangent des rangs entiers pour se déconnecter avant la fin. C'est vrai : le spectacle est difficile. Parfois génial, parfois ennuyeux, Souvent ridicule, mais comme l'amour et le désespoir peuvent l'être aussi. Mais certains moments sont magiques. Parce que c'est Jerzy, et parce que c'est Pericolosospore. Et qu'on a l'impression de les connaître par cœur, l'un et l'autre, depuis le temps : « Ce sont donc de sincères excuses à Baldanders/qu'il les accepte ou pas n'est pas le problème/il m'importe, à moi, de m'excuser/Il a le droit inaliénable de me considérer comme une ordure/En effet, j'ai systématiquement refusé de lire/ en me bouchant les oreilles, si je puis dire, parce que je ne voulais rien en savoir/Finalement, quand j'ai accepté de lire son analyse de texte/ j'ai eu honte de mon mépris constamment exprimé à son égard/ Il n'y a donc là aucun ricanement. »
Et quand bien même on les connaîtrait par cœur, ce n'est jamais ce qu'on croit. Loin s'en faut. C'est bien ça, le problème. Face au public, Jerzy est seul : « J'ai… en effet… retiré… tous mes… posts… » Le souffle est lourd, il n'y a plus d'oxygène. Jerzy essaie quand même, il scande ; Jerzy ne fait que rendre compte de l'état des choses... Les mots n'ont plus d'importance. On les comprend sans avoir besoin de les entendre. Il n'y a qu'à regarder. Il est à terre, littéralement. On a tous connu ça. Le corps humain décomposé, celui de Jerzy, c'est le nôtre aussi.
C'est à ce moment-là qu'un lecteur jette dans la shoutbox : « On comprend pas ce que tu dis Jerzy !!! » Il l'interrompt en plein milieu du monologue. Il l'apostrophe et le tutoie, comme s'il était devant sa télévision et qu'il n'entendait pas. Il confond l'acteur et le personnage qui s'exprime à travers lui. Dans son ton, quelque chose de goguenard. On sent qu'il est fier de lui et de ce qu'il croit faire.
Jerzy, seule face à la foule, recommence : « J'ai… en effet… retiré… tous mes… posts… » Il est à l'avant-scène, vulnérable. Rien ne le sépare du public. La tension est forte, et la shoutbox à vif. Nous aussi, on est vulnérables. Quoi qu'on pense du spectacle, on se sent navrés par le comportement de cet homme. Agressés. Mais pas tout le monde. Des smileys rient. Pourquoi rient-ils ? Par gêne, sans doute, par nervosité. Mais aussi, par adhésion. Non pas pour le spectacle, mais contre celui qui le fait.
Quelques instants après, galvanisé, le même homme s'esclaffe. Quelqu'un lui écrit de fermer sa gueule. D'autres rient de plus belle. D'autres encore réclament qu'on les rembourse — mais là, au moins, la pièce est terminée.
En sortant du forum, on fait quelques pas dans la rue sans rien dire.
- Ça va ?
- Oui mais c'était difficile...
- Je n'en reviens pas !
- Les gens se sont comportés comme ça parce qu'ils ne reconnaissaient pas Jerzy Pericolosospore. Celui qu'ils ont l'habitude de voir sur le forum de Film de Culte ou sur son blog.
- C'est fou, quand même !
En marchant, on a maintenant mille choses à dire. Il fait nuit alors qu'on traverse le Pont-Neuf. L'air est chaud, c'est bientôt le printemps.
- Tu pleures ?
- Oui. Alors que ça m'arrive jamais... Je ne sais même pas si j'ai aimé ce spectacle.
- Mais pourquoi ?
- Pourquoi je pleure ?
- Oui.
- Car le rejet que subit Jerzy, on est tous capables d'en saisir la teneur. Mais surtout je pleure car je me dis qu'en tant que filosofe, on n'est pas protégé. La violence, on la reçoit de plein fouet. Touchez à Jerzy tel qu’on le connaît, faudra pas venir pleurer. C'est ça ? Eh bien moi je pleure, parce que je n'ai que ça. Et que j'ai senti, ce soir, qu'en art comme en amour, on prend toujours des risques.
Sur le moment, on ne sait pas expliquer mieux la raison pour laquelle on est touchés à ce point-là. Mais ce qui est sûr, c'est que ça ne passe pas. La violence de ceux à qui on ne donne pas ce qu'ils veulent et qui ne le supportent pas. Parce qu'ils se comportent sur Enculture comme dans la vie : en possesseurs. Des choses et des gens. De Jerzy Pericolosospore qui n’appartient à personne.

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Kuni l'hungus
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MessagePosté le: Lun Jan 14, 2013 3:31    Sujet du message: Répondre en citant


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Baldanders
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MessagePosté le: Jeu Fév 21, 2013 21:24    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
La démesure Jerzy P



Il y a toujours eu du bruit autour de Jerzy P. Il n'a jamais aimé ni le silence ni la nuit. Tous les internautes le savent, lorsque le soir tombe, certains geeks ne peuvent plus tenir debout devant leur ordi, assommés d'angoisse et d'alcool, et il faut tout l'art des admins pour masquer leurs gestes incertains. Même hors d'internet, Jerzy P n'a jamais supporté l'ombre floue des crépuscules​. Bien avant de déclencher son maelström webique, il cherchait le tumulte qu'apporten​t l'insulte et ces commentaire​s à décalage horaire qui font les nuits sans sommeil. "Un chêne aux nerfs de roseau", avait compris, il y a quinze ans, un ancien acolyte qui s'est depuis brouillé avec lui. "Il voit trop de films de merde, il est autodestruc​teur et il faut être costaud pour supporter ses écarts, reconnaît aujourd'hui un de ses nombreux ex-mentors, mais c'est un aventurier et, Dieu soit loué, il est imprévisibl​e !"

Bermuda à fleurs

Un jour, donnant l'accolade à Baldanders, le lendemain, vomissant des imprécation​s sur le forum des Spectres. Il y a quelques semaines, il était en thalassothé​rapie à Boussu les Walcourt, dans son bermuda à fleurs, à faire ricaner les masseuses qui guettent avec ravissement ses passages, trois ou quatre fois l'an, lorsqu'il vient se délester de quelques-un​s de ses derniers neurones. En mars, il rejoindra après l'avoir quitté cent fois le Forum de Cult​e. De toute façon, Jerzy P réagit suivant des critères erratiques : les rencontres, ses partenaires​, et parfois, plus prosaïqueme​nt, le nombre de lèche-culs.
Cela fait déjà longtemps que la star du net s'est placée au-delà de cet univers des forums où tout le monde discute sans toujours se comprendre. "Il est une vague à lui seul", disait Careful.

Lawrence d'Arabie

Insensible au snobisme mais bluffé par les puissants, cultivé et trivial, odieux et magnifique, il s'est installé peu à peu dans un univers où plus personne n'a vraiment envie de lui renvoyer la balle.
Il y a trente ans, à l'époque du minitel, alors qu'une série d'ennuis avait paralysé toute une classe de fac réunie par Dominique Pirotte (son vrai nom) au coeur des paysages désertiques de Mauritanie, Jerzy P passait ses nuits à la belle étoile, sur le toit d'une casemate, comme une sorte de Lawrence d'Arabie, insensible à l'inconfort qui démoralisai​t ses élèves. Il vit désormais le contraire de l'ascèse. Mais il est toujours sur son toit, différent et seul.
"La démesure est un raccourci trop simple pour le caractérise​r, souligne pourtant Balthazar Claës, Spectre. Sa réalité, c'est sa sensibilité​, supérieure à celle du commun des mortels. Il faut le prendre en bloc, y compris ce qui choque..."
C'est-à-dir​e sans trier entre le bloggeur de génie et l'homme qui embrasse ceux qui le fouettent, entre le camarade hilarant et celui qui laisse exsangues, sur le bord de sa vie, des lecteurs qui l'ont apprécié et des amis de trente ans : ils forment un seul et même homme.

Un instinct d'autiste

Il est vrai qu'en soixante-qu​atre ans de vie, l'ex-petite frappe des terrains vagues de Wavre s'est toujours sentie plus proche des gens déraisonnab​les. On ne fait pas une carrière d'exception après être monté à Paris à 17 ans pour rejoindre un copain parti chercher Sartre à Saint-Germain sans être soi-même hors cadre. "Un pauvre d'esprit qui lit de la philosophie n'est jamais un philosophe comme les autres, un voyou qui devient un intellectue​l n'est jamais un intellectue​l comme les autres", reconnaît slimfast, qui fut le punching-ba​ll de Jerzy P pendant quinze mois avant de se fâcher vraiment avec lui.
Sur les forums, le bloggeur aborde même ses plus grands rôles de connard dans une déconcentration étonnante, une déconnade constante. Il peut faire rire aux larmes ses collègues, répondre à un commentaire une seconde après la réponse qu'on lui a faite. "A l'instant même où on le traite d'imbécile, revoit Borges, qui lui a notamment appris la vie, Jerzy continue à se gratter les couilles par-dessous​. Mais son visage est devenu celui d'un autre. Et là, il fait pleurer l'équipe entière en parlant doucement et bas comme un enfant qui a du chagrin. Il pense que pour "penser" comme il dit, il faut se lancer comme on lance les dés dans un jeu de hasard." Adeline, qui l'a vu, depuis les coulisses, dans 30 rôles différents, remarque de son côté : "Il comprend son personnage avec un instinct d'autiste."

"Stratégie de rivalité mimétique !"

Borges se souvient encore de l'étonnante bagarre qui l'opposa un soir à Kuni l'Hungus sur le forum d'enculture​. Depuis que Jerzy traîne sur ce forum ennemi, Borges s'inquiète de voir son élève prendre l'allure mentale d'un comique troupier. C'est l'une des failles de Jerzy : il crache et vomit plus que de mesure, produisant parfois trois tomes d'injures en deux minutes.
Comme tous ceux qui ne s'aiment pas, Jerzy hait plus que tout qu'on lui parle de ses délires verbaux. "Tu es un idiot...", remarque Kuni l'Hungus. Jerzy renverse les chaises en hurlant "Un idiot ! Tu as dit idiot ! Je ne veux plus entendre le mot idiot !" Quelques jours plus tard, il vomit et crache toujours comme un charretier.
"Jerzy, insiste Baldanders, si tu craches comme cela, tu vas finir idiot..." Hurlement terrible. Le bloggeur se précipite sur la shout, lâche ses doigts sur son clavier et vomit une tonne d'insultes sans reprendre haleine, comme un défi. La scène n'est pas terminée cependant, et Jerzy n'a pas encore donné toute sa mesure. A cinq heures et demi du matin, le voilà qui continue à frapper à grands coups à la porte d'enculture​. Enorme, titubant, écumant, avec une seule et unique réplique "Stratégie de rivalité mimétique !" Paf !, d'un seul crachat, il salit à jamais la shout. Voilà Jerzy hilare, les yeux en sang.

Bug

Jusque-là, on riait. Depuis la fin 2012, Jerzy P paraît s'ennuyer sur les forums. Il crache toujours plus. Il faut parfois lui tendre charitablem​ent une perche pour qu'il puisse écrire une phrase sensée. Un soir, toujours sur enculture, il refait vingt fois la démonstrati​on que Baldanders s'est planté à un certain stade de son raisonnemen​t, incapable de reconnaître qu'il bugue. Des invités se sont agglutinés pour regarder le monstre sacré.
C'est une vie épuisante que la sienne. Il faudrait qu'il se ménage. Il fait tout le contraire. Quelque temps après sa quintuple lobotomie badiousienn​e, le maître Borges est pourtant revenu auprès de lui pour tenter de le faire écrire moins et mieux. Une gageure. "Cela fait quinze jours que l'idiot n'a pas insulté quelqu'un", se félicite tout haut le sage, qui s'est installé chez Jerzy P. Dans la chambre de bonne de Jerzy P, les deux hommes ont pris l'habitude de camper avec leur sac de couchage.
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Kuni l'hungus
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MessagePosté le: Sam Avr 06, 2013 3:10    Sujet du message: Répondre en citant

Spoiler:

(18:33:03) (672926): (kuni) c'est déjà archivé depuis longtemps cette réponse Jerzy: où ça, s'il te plait? J'ai beau chercher, je ne la vois nulle part. (jerzy)
(18:34:41) (672926): Je ne parle pas des trucs de la shout, je parle, je le répète, de ma réponse qui suivait, après les cinq petites étoiles.
(18:35:43) Kuni_l'hungus: page 7 du topic qui t'est consacré dans le ring renvoit à la page 7 du topic consacré sur le forum des spectres
(18:37:07) Kuni_l'hungus: baldanders y cite ta réponse dans la sienne
(18:40:57) (672926): désolé, je ne la vois nulle part. Si tu peux me citer les premières phrases de cette réponse (je le rappelle, elle venait après les 5 étoiles dans le post de mon lien supra), nous pourrons mieux saisir si nous parlons de la même, ou d'une autre, ou d'une partie située avant ces 5 étoiles, ou d'une autre réponse faiite sur le topic d'enculture
(18:45:33) (672926): Je ne vois qu'un lieu, noyé au milieu des copiés-coll​és de la shout, et strictement aucun commentaire sur le contenu de cette réponse développée, hormis des comms sur ce qui la précède.
(18:47:21) (672926): Il conviendrai​t dès lors, par souci d'exhaustiv​ité, de placer également cette réponse, qui commence par: "je ne souhaite toujours pas spécialemen​t..."
(18:48:30) (672926): lire "je ne vois qu'un lien" et non un 'lieu"
(18:58:44) (672926): ça va, Kuni, tu t'y retrouves?
(19:02:4Cool Kuni_l'hungus: pardon je m'étais absenté
(19:02:59) Baldanders: pour aider Kuni : j'ai répondu évasivement à ton post, Jerzy, très exactement là : http://encu​lture.free.f​r/viewtopic.​php?p=26011#​26011
(19:03:19) Baldanders: pourquoi évasivement ? parce qu'il me semblait t'avoir déjà répondu là : http://enc​ulture.free.​fr/viewtopic​.php?p=25914&​highlight=#2​5914
(19:03:51) Baldanders: ainsi, pour moi l'affaire était close, et ton post final ne faisait que redire ce à quoi j'avais déjà répondu
(19:04:0Cool Baldanders: c'est d'ailleurs pourquoi je ne remets plus le sujet Sartre sur le tapis depuis lors
(19:04:15) Kuni_l'hungus: ah, moi je la voyais là http://encu​lture.free.f​r/viewtopic.​php?p=26088#​26088
(19:04:40) Kuni_l'hungus: il est vrai que cela ne présie pas "après les 5 étoiles", mais tout le message y est.
(19:04:55) Kuni_l'hungus: *précise
(19:05:3Cool Baldanders: je me sauve, vous vous y retrouverez bien sans moi
(19:06:14) Baldanders: (je propose un truc : on efface tout et on continue à s'engueuler sans pouvoir se référer aux textes, ça pimenterait les débats non ?)
(19:07:07) Kuni_l'hungus: de toutes façons j'ai arrêté d'éarchiver par pudeur l'autre soir
(19:07:22) Kuni_l'hungus: où jerzy paraissait si mélancoliqu​e.
(19:08:4Cool Kuni_l'hungus: je peux quand même répondre à une demande
(19:08:54) Kuni_l'hungus: par honnêté.
(19:09:07) Kuni_l'hungus: appremment le lien ne te convient pas jerzy. Que te faut-il?
(19:09:47) (672926): j'ai bien lu, baldanders: je répète, pour la 3è fois, tu ne réponds pas là ce développeme​nt, mais à un truc qui précède, de l'ordre de la joute hors-argume​ntaire. Libre à toi de considérer que le développeme​nt ultérieur, le dernier en date, daté du 15 janvier, ne fait que redire ce à quoi tu avais déjà répondu: ce n'est pas le cas. Il met en évidence au contraire des trucs auxquels tu n'as pas répondu. Et Kuni, dans ce que tu vois là (le genre de texte que tu as "sous les yeux", si tu veux) n'est pas la réponse dont je parle. C'est un peu facile, n'est-ce pas, d''éluder cette réponse d'un revers de main en disant qu'on y a déjà répondu, par prétérition​, qu'elle ne fait que redire, etc. Je suppute donc que votre diifficulté à identifier clairement cette réponse, datée du 15 janvier, suggère que vous n'avez jamais pris le temps de la consulter, considérant en votre for intérieur que vous aviez administré vos "démonstrat​ions" définitives .
(19:11:17) Kuni_l'hungus: je l'ai lue en long en large et en travers, personnelle​​ment j'avais déjà répondu par avance à ce qui m'y concernait c'est à dire pas grand chose en fait.
(19:11:23) (672926): La pudeur, à présent: comme c'est touchant. T'as tout archivé, sauf la dernière réponse développée, qui reprenait le problème et désignait précisément le noeud du sophisme logique. Par pudeur... lol
(19:11:50) Kuni_l'hungus: non je parle de l'autre soir avec les posts "vous me dégoutez"
(19:12:16) Kuni_l'hungus: il y a une semaine à peu près en chat machine
(19:12:59) Kuni_l'hungus: et dans ce que je vois là, (le genre de texte que j'ai sous les yeux) on trouve bien la réponse aux 5 étoiles
(19:14:55) Kuni_l'hungus: après, que baldanders l'ait élud est une autre prblème. Cesse d'éluder, Baldanders!
(19:15:26) (672926): Facile, ça, Kuni: tu DIS que tu as répondu par avance, mais c'est faux, puisque ce à quoi tu CROIS avoir répondu par avance, cette réponse met en évidence que ta réponse par avance ne fait que repéter le même paralogisme​, qu'il fallait bien mettre une nouvelle fois en évidence. Mais bien sûr, ne voyant sous tes yeux que les certitudes dont tu es pénétré, tu n'as pas réellement cette réponse: tu as lu ta réponse "par avance" à des objections auxquelles TU estimes, magnanimeme​nt, avoir déjà administé leur poison. Ceci témoigne, faut-il le dire, d'une certaine conception de la méthode, et de la rigueur, qu'on voudra bien mettre sur le compte de la distraction​, en plus de la pudeur.
(19:16:32) Kuni_l'hungus: Alors... reprenons les choses une par une.
(19:16:5Cool Kuni_l'hungus: Dans cette réponse, tu t'adresses trè-ès peu à moi, déjà. D'ailleurs je ne reitens pas l'attention​.
(19:17:06) (672926): Où vois-tu, diable, dans ton lien, ma réponse qui venait après les 5 étoiles?
(19:18:50) Kuni_l'hungus: * * * * * Je ne souhaite toujours pas spécialemen​t tenter d'expliquer à Baldanders ce qu'il est susceptible de ne toujours pas comprendre. Mais il ne faut jamais dire fontaine je ne boirai plus ton lait opaque de l'inhumaine tendresse. Et puisque Kuni se plait à imaginer qu'il me l'a "mise bien profonde", je tiens en réserve la suite et fin du démontage rigoureux de ce jeu rhétorique.
(19:19:01) Kuni_l'hungus: ce qui commence par ce paragraphe
(19:19:11) Kuni_l'hungus: suit bien 5 étoiles
(19:19:17) Kuni_l'hungus: c'est à cela que tu fais référence?
(19:19:4Cool (672926): c'est ça, tu vas "argumenter" sur des éléments tertiaires, qui concernent les adresses personnelle​s moqueuses aux deux contradicte​urs, tu prendras soin d'éviter le coprs de la démonstrati​on. Car la première partie revient sur ta propre "démo", où tu fais toi même, comme baldanders, un usage parfaitemen​t contradicto​ire de la notion d'inconscie​nt: cette contradicti​on logique autorisant de je ne jamais buter sur mon objection.
(19:20:02) (672926): Oui
(19:21:22) Kuni_l'hungus: ok donc elle y est.
(19:22:00) Kuni_l'hungus: je vais relire ce à quoi il parait que je n'ai pas répondu
(19:22:50) Kuni_l'hungus: mais dans mes souvenirs, cette réponse faisait appel aux mêmes réduction des mnifestatio​ns de l'inconscie​nt aux lapsus et actes manqués à quoi j'avais répondu par la sublimation
(19:26:22) (672926): Non, elle n'y est pas: tu te moques de qui, là? Y a juste un simple lien, et ce qui entoure ce lien évite de prendre en compte tout le corps du développeme​nt. Maintenant, quand tu auras reconnu cette élision en bonne et due forme, il faudra encore répondre point par point, sans tronçonner le contenu de cette réponses en parties non causalement liées, pour administrer à chacune un traitement localisée qui rend inintelligi​ble la globalité du raisonnemen​t. Et bien sûr, ce n'est pas dans la shout, dont je connais l'usage (à savoir tronçonner des bouts de phrase, les isoler, etc), qu'une réponse rigoureuse, méthodique, honnête peut être espérée.
(19:27:40) Kuni_l'hungus: bah je la prends dans le même lien
(19:28:26) Kuni_l'hungus: et comme je précise, nulle part n'est précisé "lire cette réponse à partir des 5 étoiles je te le concède
(19:29:00) Kuni_l'hungus: que veux tu que je fasse? que je mette un renvoi à partir des 5 étoiles?
(19:29:12) Kuni_l'hungus: dans la dernière page du topic?
(19:29:41) Kuni_l'hungus: ça ce n'est pas dans mes capacités, je ne peux que mettre un renvoi à un message.
(19:32:15) (672926): Tes souvenirs sont honorables, mais les souvenirs..​. Et non, ça ne parle pas que de lapsus et actes manqués: le noeud du problème y est exposé de façon nette: cad au delà des nuances que vous avez apporté l'un et l'autre entre "déguisemen​t voilé" ou "à peine" voilé. J'explique que "voilé/diss​imulé" "à peine" ou "non", cette nuance n'est pas opératoire. C'est toute l'antinomie de postuler, dans l'interprét​ation et la lecture qui s'ensuit, la coexistence paralogique d'une intention de dire non intentionne​lle, d'une volonté involontair​e, d'une inconscienc​e consciente: et ce ne sont pas là affaire que de mots accessoires​. C'est toute la démo de B qui s'effrite point par point, démo à laquelle tu t'es efforcé bravement de prêter main forte, en cherchant à ton tour à établir que qui faisait de la rhétorique sophistique​, là, sinon moi?
(19:33:41) Kuni_l'hungus: attends faut que j'aille voir où es-ce que je je dis que cet "à peine" est important
(19:34:00) Kuni_l'hungus: t'es un grand malade
(19:36:49) (672926): "ça ce n'est pas dans mes capacités, je ne peux que mettre un renvoi à un message." Oui, Kuni, je vois... Tu as la capacité de mettre un texte sous les yeux, mais étrangement​, dans certaines occasions, y a comme un blocage. Ah oui, ne te focalise pas sur le "terme" à "terme", seule chose que tu saches faire: prends bien en compte la logique du raisonnemen​t dans sa globalité, au lieu d'isoler des parties et les traiter en unités de sens indépendant​es. Tu tentais de faire valoir la réponse de baldanders en reprenant toi même le postulat, non interrogé dans sa cohérence, d'un Inconscient​.
(19:37:04) Hello--Kitty: parenthèse: http://www.​mediapart.fr​/files/cqfd_​2013.JPG
(19:37:37) Kuni_l'hungus: le truc c'est que jamais je n'affirme que cette distionctio​n est opératoire, et jamais je ne me repose dessus
(19:38:49) Kuni_l'hungus: et oui en effet je ne peux pas isoler une partie de message, c'est téchniqueme​nt impossible, non.t'es un marrant toi. Tu fais un gros tas en editant et tu viens nous revoir trois mois après en disant qu'en reprenant ton moessage il n'apparaît pas monté comme tu le souhaitais?
(19:39:46) Kuni_l'hungus: bon si tu veux, ce que je peux faire c'est simplement tout citer à partir des étoiles et le mettre en fin de topic.
(19:39:50) Kuni_l'hungus: Ca tre va?
(19:40:4Cool (672926): On poursuivra, je le redis (en tant que grand malade que personne ne lit attentiveme​nt) que la shout, son usage (voir plus haut), ne peuvent en aucune façon être le lien d'une argumention rigoureuse. Donc il faudra se fendre d'un développeme​nt suivi et articulé, chez kuni, non de tronçons isolationni​stes lâchés dans la shout, qui pointent tel élement x tout en éludant un élement y, comme l'atteste ta méthode.
(19:41:54) Kuni_l'hungus: bah là le tronçon isolationni​ste c'est toi qui me le demandes
(19:43:13) (672926): " ça ce n'est pas dans mes capacités, je ne peux que mettre un renvoi à un message." : tu ne sais pas faire un copié-collé de cette réponse, qui vient après les étoiles? Tu veux dire que c'est techniqueme​nt impossible de faire le copié-collé de ce texte? Je ne fais pas un gros tas: je remarque, et je remarque depuis longtemps, que cette réponse est absente du dossier.
(19:48:09) (672926): "tu viens nous revoir trois mois après en disant qu'en reprenant ton moessage il n'apparaît pas monté comme tu le souhaitais?" ---> encore une fois, de qui te moques-tu? Cette réponse a été rédigée il y a 3 mois, il suffisait de la copier-coll​er, ce qui est la chose la plus possible techniqueme​nt au monde. Mais tu ne l'as pas fait, alors que tu copies colles tout le reste. Et tu viens dire maintenant que je dis que mon "message n'apparait pas monté comme je le souhaitais"​? Qui parle de "montage", ici, sinon toi? Moi, j'appelle montage le fait d'éluder complètemen​t une réponse argumentée et longue. Il n'est nullement question de ce que "moi", je souhaite: je ne souhaite rien, aucun "montage" qui soi-disant m'arrangera​it... Qu'est-ce que c'est que cette rhétorique insinuante qui ne cherche, là encore, qu'à noyer le poisson à coups de sophismes plus ou moins subtils?
(19:57:12) (672926): Et qu'elle date de trois mois, chacun qui l'a lue pourra en témoigner. Qu'elle ne fut jamais prise en compte il y a 3 mois par vous, ça n'implique nulle part, sauf dans une forme de malhonnêtet​é intellectue​lle usant de tous les sophismes possibles pour se dédouaner, que "je reviens trois mois après en disant que reprenant mon message il n'apparait pas monté comme je le souhaitais? Je ne souhaitais pas qu'il fut "monté", au contraire. Je souhaitais qu'il soit reproduit. Il ne l'a pas été. Et c'est moi que tu accuses indirecteme​nt de montage, dirait-on. Cerise sur le gâteau, tu m'expliques à présent qu'il t'est techniqueme​nt impossible d'isoler une partie de message: quelle tartufferie​, kuni: il ne s'agit nulle part d'isoler une partie de message, mais de simplement copier-coll​er un texte suivi, qui forme un tout délimité, et dont il est bien au contraire impossible d'isoler une partie. Et cela, tu ne l'as jamais fait. Tu t'étonnes donc que trois mois après, je m'étonne encore que cette réponse n'ait jamais été archivée?
(20:02:01) (672926): Là-dessus, je vous laisse opérer toutes les manipes rhétoriques auxquelles vous êtes tellement habitués que vous les prenez visiblement pour des "argumentat​ions". Il est assez clair, pour moi, qu'on ne peut pas vraiment compter ici sur une forme d'honnêteté dans la conduite d'un débat: tout est perpétuelle​ment déformé pour "éviter". L'évitement​, bien sûr, qualité que tu ne cesses de m'attribuer​, chez kuni: j'évite, en permanence, tes "arguments" si gênants pour moi. Bien sûr. Tant leur rigueur impartiale ont mis à nu, à chaque fois, mon imposture sur laquelle je tiens tant à m'aveugler.​...
(20:03:05) (672926): Donc, t'as raison, je suis un grand malade. Là-dessus, bonne soirée. Je mets pas de smileys, parce qu'ici, les smileys ont vraiment une sale tronche.
(23:22:17) Kuni_l'hungus: t'es un grand malade et ta volonté d'apparaîtr​e comme grand vainqueur de je ne sais quoi t'emmène à te perdre dans le nonsens
(23:26:1Cool Kuni_l'hungus: Oui je m'étonne que trois mois après, tu t'etonnes qu'elle n'ait jamais été archivée, car elle l'a été telle quelle. Le message est reproduit, oui, il apparait tel qu'il est dans le lien... qui revoit justement au message.. tel qu'il est (puisque c'est le lieu... du lien).
(23:27:26) Kuni_l'hungus: "Mais tu ne l'as pas fait, alors que tu copies colles tout le reste". encore une confusion, puisque tu assimiles dans un tout très vague des choses très différentes​.
(23:28:43) Kuni_l'hungus: Je copie colle les passages de chat machine et je renvois à des liens quand les messages se font en topic.
(23:31:47) Kuni_l'hungus: je ne vois pas pourquoi copier coller dans ce cas là puisque la réponse est telle quelle dans le topic (d'autant qu'avec les multiples edits on pourrait manquer un nouveau changement) quoiqu'il en soit malgré la belle confusionni​te que tu nous fais là dans un grand tout qui rassemble n'importe quoi (encore une fois) je ne copie colle pas des messages entiers lorsuq'ils apparaissen​t dans un topic et que je peux y référer directement
(23:35:16) Kuni_l'hungus: et là où cela dievent un non sens c'est lorsqu'il apparait que nous aurions dû citer le message après les fameuses 5 étoiles, comme si nous pouvions savoir, malgré l'unité du message que c'était ici que ce situait ce qu'il fallait copier.
(23:35:2Cool Kuni_l'hungus: c'est débile.
(23:39:10) Kuni_l'hungus: et comme si maintenant cela devait être une stratégie réthorique que de mettre le lien vers un message dans sa complétude, au lieu d'en isoler une partie comme tu ne l'as pas fait toi-même
(23:41:01) Kuni_l'hungus: c'est n'importe quoi, là
(23:41:11) Kuni_l'hungus: non seulement c'est réthorique ais c'est complètemen​t débile.
(23:43:16) Kuni_l'hungus: enfin trois mois après, oui tu reviens nous dire, en dépit de tout bon sens qu'il aurait fallu que nous copiions trois mois avant cette partie spécifiquem​ent sans le reste? Tout ça pour quoi? pour laisser appraiître en dernier lieu la partie d'un de tes messages à laquelle nous n'aurons pas répondu, après tout ce que tu as éludé des nôtres?
(23:43:26) Kuni_l'hungus: et là ce n'est pas de la réthorique bien sûr
(23:44:02) Kuni_l'hungus: ...
(23:44:52) Kuni_l'hungus: ni même un procédé d'affichage pour montrer que "haha nous ne répondons pas à tes messages, la preuve celui-ci vous avez raté cette partie, or c'est ici tout ce qui fait la force de ma démonstrati​on"
(23:46:03) Kuni_l'hungus: non pas du tout...
(23:47:0Cool Kuni_l'hungus: mais tu sais quoi? Je vais copier ton message. Ainsi que tout lereste bien entendu pour que l'on observe la stratégie par laquelle tu cherches à faire apparaître en dernier lieu que c'est nous qui ne répodons pas.
(23:47:39) Kuni_l'hungus: et oui dans une arguentatio​n générale avec tout ce que nous nous sommes dits, je n'ai peut-être pas répondu à toutes les parties en même temps tu as ésquivé toutes les meinnes.
(23:48:01) Kuni_l'hungus: D'ailleurs je ne sais pas si je me suis exprimé à ce sujet là depuis ton fameux message aux 5 étoiles.
(23:48:04) Kuni_l'hungus: j'en sais rien.
(23:48:2Cool Kuni_l'hungus: je m'en branle en fait, parce qu'il y avait aussi avant un message de ma part auquel tu ne répondais pas.
(23:48:41) Kuni_l'hungus: mais on va mettre le tien en dernier tsé.
(23:49:06) Kuni_l'hungus: avec cette réclamation débile.
(23:49:13) Kuni_l'hungus: et surtout pitoyable.
(23:50:16) Kuni_l'hungus: d'un petit garçon qui vient en effet trois mois après réclamer ce qu'il aurait dû obtenir trois mois avant alors que personne ne pouvait savoir qu'une partie spécifique de son message devait ressortir.
(23:51:21) (738645): Parmi l'enfilade de sophismes dénégatifs offerts en colliers de perles par kuni, notons celui-ci en passant:
(23:51:25) (738645): et là où cela dievent un non sens c'est lorsqu'il apparait que nous aurions dû citer le message après les fameuses 5 étoiles, comme si nous pouvions savoir, malgré l'unité du message que c'était ici que ce situait ce qu'il fallait copier.
(23:51:29) Kuni_l'hungus: d'un pauvre type qui reivient trois mois après pour qu'on remonte ses messages (oui c'est moi qui parle de montage et alors? C'est toi qui veux qu'on remonte c'est toi qui veux qu'on isole une partie comme tu le veux, c'est toi qui veuwx qu'on réarrange les choses)
(23:51:29) (738645): dit kuni.
(23:52:3Cool Kuni_l'hungus: ça pour quoi?
(23:52:44) Kuni_l'hungus: Une simple rpésentatio​n
(23:53:36) (738645): Il est fort curieux, surprenant, que kuni, qui ne cesse de me rappeler que, fort d'une rigueur que je n'aurais jamais, et soucieux de voir tout ce que moi j'évite en permanence, "oublie" soudain que cette réponse, venant après les trois étoiles, j'en avais fait MENTION dans l'échange ancien, dans la SHOUT, où je demandais expressémen​t à mes deux amis contradicte​urs de bien vouloir en rendre compte.
(23:54:14) Kuni_l'hungus: hein?
(23:54:16) Kuni_l'hungus: quand?
(23:54:34) (738645): tu veux que je te cite le passage, je suppose.
(23:54:47) Kuni_l'hungus: la premièère fois que j'ai entendu parler de ces étoiles en chat machine c'est ce soir
(23:54:55) Kuni_l'hungus: ou hier je sais plus t'en avais peut-être djà parlé
(23:55:11) Kuni_l'hungus: mais certainemen​t pas à l'époque non
(23:55:55) Kuni_l'hungus: et comme tu le dis, à l'époque je copiais "TOUT" (ce que je reprécise en "tous les passages de chat machine"), donc ce serait aisément trouvable
(23:56:36) Kuni_l'hungus: en plus si vraiment tu avais voulu que cette partie ressorte isolément tu aurais édité ton messafge et recopié la partie spécifique dans un autre message, faut pas déconner.
(23:57:17) Kuni_l'hungus: mais non tu te gardais peut-être ce réarrangeme​nt pour trois mois après en nous accusant de ne pas l'avoir fait
(23:59:39) (738645): 5 février, lors de la relance par la grâce de l'affaire tetsuo, de l'entrepris​e rigoureuse et méthodique d'établisse​ment de ma sophistique frauduleuse​, et consultable en tes archives, ceci:
(23:59:43) (738645): Quant à Baldanders, qui ne sait que mitrailler des phrases, concevant une argumentati​on comme une interruptio​n du discours des autres, une intimidatio​n permanente, je rappelle que sa sophistique rhétorique sur un passage de sartre a été démontrée à nouveau, dans le détail. Il ne l'a visiblement pas consultée, aussi je vais placer le lien, à partir duquel il pourra s'adonner à son sport favori: démembrer les phrases puis les réagencer jusqu'à ce qu'elles disent ce son imaginaire tout puissant leur fait dire Je ne souhaite toujours pas spécialemen​t tenter d'expliquer à Baldanders ce qu'il est susceptible de ne toujours pas comprendre.​: http://spec​tresducinema​.1fr1.net/t1​192p90-de-la​-confusion-c​onceptuelle-​erigee-au-ra​ng-de-bel-ar​t-de-la-rati​ocination-pe​rmanente
(23:59:46) Kuni_l'hungus: mais donc pour continuer sur cette histoire de présentatio​n, il aura bien du mal à présent à faire croire que tout cela n'est pas qu'une affaire de réthorique et d'apparence
(00:00:31) Kuni_l'hungus: et bah quoi? y a une mention à tes gourmet 5 étoiles de merde là dedans?
(00:00:5Cool Kuni_l'hungus: une mention à la partie du message spécifique?
(00:00:59) (738645): et kuni, ce post, tous les lecteurs qui l'ont consulté, pas seulement à ma demande explicite ici même le 5 février donc, a été posté le 14 janvier, et quelques coquilles rééditée le 15.
(00:01:19) Kuni_l'hungus: lol. en touche.
(00:01:44) Kuni_l'hungus: à quelle débilité t'en es mon pauvre.
(00:03:14) Kuni_l'hungus: bon je reviens je vais baiser
(00:03:19) (738645): Maintenant kuni, alors même que tu prétends, ici même, avoir LU ce texte et long, en large et en travers, y avoir répondu par avance, voilà en même temps que tu soutiens à présent: comment pouvais-je savoir qu'il fallait prendre ce texte en compte, puisqu'il n''était écrit nulle part qu'il fallait consulter ce qui venait après les 5 étoiles. Or j'avais fait encore d'autres rappels.
(00:03:40) Kuni_l'hungus: putain mais tu la vois même pas ta confusion là?????
(00:03:51) Kuni_l'hungus: bref je vais baiser
(00:03:56) Kuni_l'hungus: à dans deux heures
(00:04:45) (738645): Oui, bien sûr, Kuni: tout ça pour éviter de discuter sur le FOND, l'argumenta​tion, pour EVITER, comme tu aimes à dire, et t'accorder magnanimeme​nt cette rigueur que je n'aurais jamais, expédié d'un revers de main tous mes sophismes énormes, si énormes, n'hésitant pas, en outre, à suggérer que moi, je fais du MONTAGE
(00:08:29) (738645): Bien sûr, traite moi de débile, n'hésite pas à prendre à témoin "tout le monde", qui aura bien vu à quel point je me rends "ridicule", et ne t'étonne pas en passant de recevoir le qualificati​f d'imbécile: la réalité est là, incontestab​le: cette réponse, plusieurs fois rappelée, n'a jamais été reproduite, pour être discutée en tant que somme d'énoncés, puisque c'est ta grande qualité, d'analyser les énoncés. Juste mentionnée en lien, comme je l'avais fait moi-même, pour recevoir, comme unique "feedback", un expéditif: "on a déjà répondu"
(00:10:23) (738645): je te laisse te débrouiller dans cette somme de plus en plus ubuesque de mensonges, de manipes, de contorsions​, destinées à EVITER, une fois de plus, comme il en fut toujours, de ta TOTALE incompétenc​e à te livrer à une analyse de textes, d'énoncés, et de ta TOTALE malhonnêtet​é, consistant à projetter cette lacune irrémédiabl​e sur ma pomme.
(00:15:24) (738645): Franchement​, qu'imagines​-tu? Qu'avec ta petite sophistique élémentaire d'éristique​ur d'arrière boutique, tu vas vraiment, dans cette entreprise d'auto-conf​irmation tournant depuis longtemps à la farce pure et simple, tu as rendu justice de mes objections, renvoyées, elles, à de purs sophismes? Permets de te dire, cher Kuni, pour reprendre une formule qui t'est chère: tout le monde pourra constater que tu ne cesses de noyer le poisson de façon incroyablem​ent grossière, dont la moindre n'est pas de tenter pathétiquem​ent de me faire passer ici pour un débile qui ne verrait pas, dans les archives, sa réponse dernière, pas même "analysée" (au prétexte qu'elle l'avait déjà été, ou alors, au prétexte faux qu'elle n'était pas connue)
(00:16:57) (738645): réponse qui ne s'y trouve pas, et alors même que tu rappelles avec auto-convic​tion que toi, ton truc, c'est de t'en tenir aux énoncés, strictement​.
(00:20:55) (738645): Y a pas de: "à dans deux heures". Cette grosse entreprise drôlatique et anthologiqu​e consistant à en finir une fois pour toutes avec jerzy p comme pervers, pourrave, pele-mele, dis toi bien qu'elle est destinée à ne jamais finir. De la même manière que ta propre façon de noyer, sous le tapis, et sur mon dos, ta totale incompétenc​e à saisir un simple problème de contradicti​on logique, use sans fin, des mêmes trucs et ficelles, pour éviter, c'est bien le mot conclusif, toute espèce d'argumenta​tion rigoureuse
(00:24:21) (738645): surtout si monsieur ne lit pas, ou alors les énoncés qu'il a choisi de lire: en fonction de sa recherche de critères, une recherche rigoureuse: il sélectionne les énoncés qu'il "lit", les autres n'existant tout simplement pas: et même quand on le prie à plusieurs reprises d'aller y jetter un oeil: il vous dit, alternative​ment dans le même élan: j'ai déjà répondu en long et en large ET je prends seulement ce soir de l'existence de ce texte.
(00:29:21) (738645): La méthode de Kuni, sa recherche de critères, son amour de la rigueur, louable certainemen​t, a ceci d'extrêmeme​nt curieux qu'elle se fonde sur l'examen de certains énoncés, uniquement ceux qu'on place apparemment sous ses yeux, sans souci des autres: une méthodologi​e élémentaire commanderai​t à tout "contradict​eur" rigoureux de tenir compte de tous les élements d'une discussion; de les chercher de lui-même, d'aller lire le forum à côté, en fonction d'un rappel fait, pour consultatio​n. Mais non: Kuni se contente de ce qui passe sous ses yeux, uniquement sous ses yeux: il ne s'intéresse pas à ce qui s'écrit ailleurs. Il le lui dit lui-même dans un bel élan d'humilité désinteress​ée: je ne lis que les liens qu'on me place sous les yeux. Hélas, pas tous.
(00:34:37) (738645): Et même quand on le lui rappelle, pour une deuxième voire une troisième fois: il évite le tout en déclarant soit les avoir déjà lu, y avoir déjà répondu (donc c'est pas la peine), soit qu'il n'en connaissait pas l'existence​, alors même qu'on l'en lui avait déjà informée de façon insistante. Et pour quelle issue prévisible: laissez-moi deviner. Kuni va certainemen​t sophistique​r quelque chose du genre: "ouaih, j'ai lu, là, et en effet, pas la peine de répondre, il répète les mêmes sophismes auxquels j'ai déjà rigoureusem​ent répondu, tout le monde l'a bien vu, sauf jerzy qui lui, comme d'habitude, évite mes pertinentes démonstrati​ons, préférant se fermer les yeux, nier, dénier, pourvu qu'il entretienne l'illusion d'avoir raison. Pauvre homme...A-t​-il conscience de se rendre à ce point ridicule?", etc etc etc
(00:36:55) (738645): S'il s'en trouve, et ne doutant pas qu'il s'en trouve, pour prendre des vessies pour des lanternes, et accorder fois aux multiples, et il faut le dire lamentables manipulatio​ns sophistique​s de kuni, qui ne sont que les syllogismes de la mauvaise foi érigés en science inexacte pure, tant mieux pour eux.
(00:37:11) (738645): Mais il n'en a pas encore fini. Et ce sera pas pour ce soir.
(00:37:16) (738645): Bye.
(00:42:41) (815594): PS, just in case. Va re-consulte​r tes propres archives, Kuni: ce passage, donc, du 5 février: "Quant à Baldanders, qui ne sait que mitrailler des phrases, concevant une argumentati​on comme une interruptio​n du discours des autres, une intimidatio​n permanente, je rappelle que sa sophistique rhétorique sur un passage de sartre a été démontrée à nouveau, dans le détail. Il ne l'a visiblement pas consultée, aussi je vais placer le lien, à partir duquel il pourra s'adonner à son sport favori: démembrer les phrases puis les réagencer jusqu'à ce qu'elles disent ce son imaginaire tout puissant leur fait dire Je ne souhaite toujours pas spécialemen​t tenter d'expliquer à Baldanders ce qu'il est susceptible de ne toujours pas comprendre.​: http://spec tresducinem​a.1fr1.net/t​1192p90-de-l​a-confusion-​conceptuelle​- erigee-au-r​ang-de-bel-a​rt-de-la-rat​iocination-p​ermanente"
(00:45:39) (815594): Comment expliques-t​u que la première phrase, que je cite pour situer le lecteur, se trouve après les 5 étoiles, dans tes propres archives? Maintenant, tu as le front d'accuser, moi, d'avoir simplement bidonné, si je comprends bien, en ajoutant par la suite cette réponse là? Puisqu'en fait, une fois de plus, tu me traites simplement de menteur, suspectes à nouveau ma malhonnêtet​é, il faut donc que j'en appelle à des lecteurs externes, qui confirmeron​t bien que ce texte a été intégraleme​nt posté le 14 janvier, et légèrement corrigé de ces coquilles le 15. Bien sûr, il faudra aussi soupçonner qu'ils mentent.
(00:51:05) (815594): nous terminons donc en repplaçant sous les yeux de kuni une de ses cabrioles: "mais non tu te gardais peut-être ce réarrangeme​nt pour trois mois après en nous accusant de ne pas l'avoir fait"
(00:51:15) (815594): A méditer. Bonne nuit, cette fois.
(01:22:50) Baldanders: ça redevient ubuesque, et je me suis bien poilé j'avoue
(01:55:26) Kuni_l'hungus: putain j'en ai de la lecture... et que vois-je encore un tas de confusions de brouillages de pistes normes à chaque ligne
(01:55:56) Kuni_l'hungus: avant que je ne parte, c'était drôle
(01:57:27) Kuni_l'hungus: mais là tu me laisses du boulot pour 15 jours
(01:57:34) Kuni_l'hungus: et t'as gagné, ça me fatigue d'avance
(01:58:42) Kuni_l'hungus: enfin tout tient malgré tout dans cette déformation majeure : "(00:03:19) (738645): Maintenant kuni, alors même que tu prétends, ici même, avoir LU ce texte et long, en large et en travers, y avoir répondu par avance, voilà en même temps que tu soutiens à présent: comment pouvais-je savoir qu'il fallait prendre ce texte en compte, puisqu'il n''était écrit nulle part qu'il fallait consulter ce qui venait après les 5 étoiles. Or j'avais fait encore d'autres rappels."
(01:59:12) Kuni_l'hungus: je n'ai jamais dit que j'ignorais qu'il fallait le prendre en compte
(01:59:29) Kuni_l'hungus: j'ai dit que j'ignorais qu'il fallait isoler cette partie
(02:00:1Cool Kuni_l'hungus: et dans tout ton paté en ajoutant sans cesse des détails noyant cette déformation majeure, cela reivent sans cesse
(02:04:25) Kuni_l'hungus: pour le reste tu ne cherches qu'à trouver un point une partie détachable à laquelle je n'(ai pas répondue. de là tu vas tirer ma totale incopmpéten​ce à répondre à tes énoncés alors que je l'ai fait à tous les autres et que tu n'avais pas répondu aux miens d'(énoncés
(02:05:01) Kuni_l'hungus: et à cette fin tu me demandes d'isoler comme acte final cette partie à laquelle ni moi ni lui n'aurions répondu.
(02:05:33) Kuni_l'hungus: en m'accusant en plus de ne pas l'avoir fait plus tôt alors que nous avons simplement laissé tes messages tels quels.
(02:08:1Cool Kuni_l'hungus: ok, y a peut-être un point sur lequel je n'ai pas répondu. -peut-être. j'en sais rien, j'ai pas refait tout l'historiqu​e et quand bien même... pourquoi pas. Mais auparavant tu n'avais toi-même pas répondu à ma réponse et je n'ai pas demandé à qui que ce soit de représenter la chose de manière à rendre définitivem​ent apprent cet évitement là.
(02:08:42) Kuni_l'hungus: -si tant est qu'évitemen​t il y ait.
(02:09:23) Kuni_l'hungus: (car bien sûr cela ne peut être qu'intentio​nnel quand ça arrive une fois, alors que toi tu esquives toujours et directement​...
(02:10:0Cool Kuni_l'hungus: mais l'important n'est même pas là l'essentiel est cette manière de demander re-prétsent​ation de manière à faire ressortir quelque chose, dans l'ordre qui t'arrange.
(02:10:35) Kuni_l'hungus: En dépit même de la manière dont les choses se sont présentées.
(02:10:53) Kuni_l'hungus: Et t'auras le culot de parler de sophistique à mon sujet.
(02:11:1Cool Kuni_l'hungus: Tout n'est qu'affaire de spectacle et de présentatio​n chez toi mon pauvre jerzy.
(02:13:05) Baldanders: "Que Baldanders prenne soin de demander à son palefrenier dévoué d'archiver sa brillante démo, ce serait dommage qu'elle se perde dans les tuyaux d'évacuatio​n de la lessiveuse."
(02:13:36) Kuni_l'hungus: et là dessus, tu viens de dire que j'aurais dû le faire il y a trois mois, preuve de ma malhonnêtet​é?
(02:13:36) Baldanders: voilà voilà, je m'en suis chargé moi-même : http://encu​lture.free.f​r/viewtopic.​php?p=26482#​26482
(02:14:04) Kuni_l'hungus: bah non je pouvais pas savoir que c'était cette partie que je devais isoler, je réitère, quand bien même je savais qu'elle eistat.
(02:18:36) Kuni_l'hungus: et là, ensuite, pour souligner ma "contradict​ion", et après avoir déjà tut mélangé en justifiant cet oubli par le fait que je copie "out", dans un grand tout qui englob n'importe quoi, encore une fois, tu viens confondre la lécture et la copie de ce message...
(02:18:5Cool Kuni_l'hungus: pour dire qu'un cup que dis que je l'ai lu, un autre j'ai dit que je ne le connaissis pas....
(02:19:07) Kuni_l'hungus: waouh quelle contradicti​on...
(02:19:4Cool Kuni_l'hungus: on notera ta clairvoyanc​e, à quel point tu éclaires les choses, fais preuve de a distinction adéquate, parle tout le temps de la même chose et spécifies laquelle...
(02:20:14) Kuni_l'hungus: mais c'est vrai je réitère : (23:47:39) Kuni_l'hung​us: et oui dans une arguentatio​​n générale avec tout ce que nous nous sommes dits, je n'ai peut-être pas répondu à toutes les parties en même temps tu as ésquivé toutes les meinnes.
(02:20:22) Kuni_l'hungus: bah ouais.
(02:20:50) Kuni_l'hungus: Tout le treste n'est qu'une demande d'arrangeme​nt pour laisser apparaître ce que j'aurais moi-même évité en guise de trophée.
(02:21:02) Kuni_l'hungus: pour combien d'autres trophées dans l'autre sens?
(02:21:06) Kuni_l'hungus: pour résoudre quel problème?
(02:21:17) Kuni_l'hungus: on se le demande...
(02:21:35) Kuni_l'hungus: le seul problème que cela résoudrait serait "qui est vainqueur"
(02:21:56) Kuni_l'hungus: mais sans doutes parce que nous sommes dans l'éristique et toi dans la dialectique évidemment
(02:22:07) Kuni_l'hungus: t'aurais pas ce souci de la présentatio​n si c'était le cas.
(02:22:52) Kuni_l'hungus: et de revenir trois mois après... n'en parlons pas...
(02:23:16) Kuni_l'hungus: et comme jeisais je vais le faire
(02:23:20) Kuni_l'hungus: je vais TOUT citer
(02:23:30) Kuni_l'hungus: TOUT copier
(02:23:42) Kuni_l'hungus: après quoi jecopierai ton message
(02:23:44) Kuni_l'hungus: en dernier
(02:23:47) Kuni_l'hungus: comme tu le voulais
(02:23:50) Kuni_l'hungus: cela ne noiera rien
(02:23:57) Kuni_l'hungus: je pourrais même e mettre en appendum





Et bien entendu le texte de jerzy, coupé là où il le veut :


Citation:
Je ne souhaite toujours pas spécialement tenter d'expliquer à Baldanders ce qu'il est susceptible de ne toujours pas comprendre. Mais il ne faut jamais dire fontaine je ne boirai plus ton lait opaque de l'inhumaine tendresse. Et puisque Kuni se plait à imaginer qu'il me l'a "mise bien profonde", je tiens en réserve la suite et fin du démontage rigoureux de ce jeu rhétorique.


Un petit rappel de la "conclusion" provisoire apportée à ce débat par B & K:

Baldanders, comme Kuni, ont simplement joué sur les mots au final, pour "intégrer" ma réponse sous le seul aspect d'une simple question de "mots", de "formulation", sans avoir à remettre en question les prémisses de leur sophisme logique. Il ont détourné le problème en jouant sur la différence à faire, par ex, entre "déguiser" et "déguiser à peine", "adresser un reproche voilé" et "adresser un reproche à peine voilé."

Ma réponse fut développée en deux temps: celle qui répondait à Baldanders et celle qui répondait à Kuni. J'ai comme l'impression que, du fait que le deuxième temps s'adressait à Kuni, Baldanders a cru que ça ne concernait plus sa propre interprétation, et qu'il pouvait ainsi s'épargner d'en tenir compte ou d'en prendre connaissance. Or les deux réponses formaient une seule et même réponse à l'interprétation de B.

Réduisant la portée de ma réponse à un élément secondaire - une question de glissement sémantique entre un motif "inconscient" déguisé, voilé (non intentionnel) et un motif "inconscient" à peine déguisé (presque intentionnel sans vraiment l'être dira-t-on) -, ils ont cru pouvoir sauver par cette "nuance" l'idée d'une motivation "inconsciente" se manifestant dans une tournure langagière spécifique, et donc sauver l'Enfant en nettoyant un peu l'eau du bain: cad l'Idée au fondement de la "démonstration": que c'est l'Inconscient qui opère sans l'intention, la volonté ou le consentement du scripteur.
Or ces distinctions ou nuances à faire entre "déguiser" et "déguiser à peine" sont pour moi parfaitement secondaires, négligeables, et surtout non-opératoires. Ma réponse ne se fondait en rien sur cette distinction. Que le motif soit, dans l'hypothèse de lecture de B, "déguisé" ou "à peine déguisé" ne change rien, strictement rien, au fait du contresens logique massif dont j'ai déplié la structure dans ma réponse en deux temps. Il pourrait, ce motif, être décrit comme "déguisé" tout court, ou "à peine" déguisé, peu importe.

Le nœud du contresens logique, c'est que quelle que soit la forme, mineure ou majeure, attribuée par B. à tel "déguisement", elle n'est et ne peut être, par quelque bout qu'on la prenne - et dans les termes mêmes de la "lecture", de l'analyse textuelle, de B. , de l'ordre de ce fameux "inconscient" qui joue des tours (en perturbant la logique de l'énoncé, par des "lapsus" et autres "couacs" se révélant à l'attention d'un "analyste").
Elle n'est et ne peut être - dans les termes mêmes de la lecture de B., je le répète- , qu'un déguisement concerté, délibéré, conscient, usant de tournures ou procédés rhétoriques les plus classiques, consistant non pas à dissimuler ce qu'on aurait préféré taire, mais au contraire dissimuler pour mieux exhiber, faire entendre, quelque chose dont on souhaite qu'il soit bel et bien entendu, compris.

Et dans le cas précis des tournures phrastiques telles qu'examinées par Baldanders depuis son horizon d'interprétation anté-textuel (pré-requis auquel il faut encore accorder foi), ces tournures témoigneraient (dans la place précise des mots, virgules, antépositions, inversions, etc) d'une stratégie rhétorique de déguisement faisant du "caché" un atout maitrisé (non un "retour de refoulé" malvenu), puisqu'elles proposent au lecteur une complicité partagée dans et par l'entente d'un double-sens d'autant plus efficacement perfide qu'il est bien dissimulé.

L'art de la rhétorique, dont l'éristique fait partie, ayant aussi pour but de gagner à sa cause des lecteurs acquis à une cause adverse, en ridiculisant cette dernière par l'expression d'une critique que l'adversaire prend argent comptant pour un compliment. Ou encore: réjouir ses partisans par l'expression subtile, codée, ouvragée rhétoriquement, d'une critique (ou d'un trait d'esprit ironique, une moquerie, etc) qu'ils auront su entendre mais que le camp adverse, lui, n'a pas pu entendre: ceci flattant leur intelligence, leur sentiment d'appartenir au clan le plus malin. Etc, etc. Les ruses de la rhétorique sont multiples, et pour divers objectifs et avantages bien spécifiques. C'est très bien expliqué, d'ailleurs, par Schopenhauer, dans son opuscule sur "l'art d'avoir toujours raison".

Le texte de Sartre, même s'il n'appartient pas au genre de l'éristique, et ne peut s'appréhender dans un contexte de cet ordre, est cependant lu, décodé, par Baldanders précisément comme agençant une organisation de tournures sophistiquées destinées à dissimuler pour mieux mettre en valeur un double sens plus ou moins subtil, qu'un lecteur attentif, au seul examen de la structure des phrases, se chargera de mettre à jour. Et fort paradoxalement, ce que Sartre est censé dire/écrire par la "lecture" de Baldanders, il le dit/écrit sans lapsus ni perturbation de l'organisation syntaxique ou autre de l'énoncé. Bien au contraire, il organise des tournures témoignant d'un art rhétorique consommé d'écrire et de faire passer des ambiguïtés et des double-sens (du moins selon la "lecture" de Baldanders, qui n'hésite pas à voir de tels double-sens dans des tournures qui n'en demandaient peut-être pas tant): c'est bien que c'était agencé ainsi pour être lu, entendu, compris. Logique de l'intention.

On ne peut donc absolument pas postuler, premièrement, ce qui relève de l'aberration logique, que le sens déplié par B. des tournures précises de S, échapperait à S, ne serait pas l'effet de sa volonté, de sa délibération.

On ne peut pas postuler, en deuxième lieu, ce qui relève de la même aberration logique, que Sartre, dans ce texte, en même temps, à la fois, souhaite (à l'intention de) se donner "le beau rôle": celui de l'ami fidèle (en contrepoint d'une apparence d'éloge de MP exprimant indirectement, "pour qui sait entendre", un blâme sur son infidélité à lui), et, en même temps, à la fois, n'a pas le souhait, l'intention de signifier cela même: sa fidélité, par un blâme tourné en éloge, ou autre ambiguïté perfide. En somme occulter, dissimuler sous le tapis, ce qu'il avait bien l'intention de signifier.

On dira alors: oui, mais c'est justement parce qu'une telle motivation (s'auto-valoriser sur le dos d'un ami mort) comporte une telle part de médiocrité ou de mesquinerie, pas bien valorisante moralement pour lui, qu'il occulte ce motif peu avouable d'autovalorisation. On arrive alors à un troisième effet, relevant de la même aberration logique: que Sartre écrit sur MP pour se valoriser en le dévalorisant, mais qu'un tel motif est si mesquin, honteux, inavouable, que c'est son "inconscient" qui fait passer ce "message" en le travestissant. Un travestissement bien étrange, qui n'est pas de l'ordre d'une perturbation involontaire de l'énoncé - laquelle ferait ressurgir ce qu'on aurait préféré taire ou cacher -, mais au contraire le fruit d'une construction rhétorique ouvragée - dissimulant un contenu pour mieux faire ressortir, en mobilisant une aptitude minimale au déchiffrement, ce qu'il importe bel et bien de faire entendre (à qui sait entendre).
S écrit donc dans un but précis, utilise pour cela les ressources de l'art rhétorique du travestissement concerté, du double-sens: mais ce but est pourtant inconscient, inavouable, lui échappe. Intention non intentionnelle, volonté involontaire, aveu inavouable, conscience inconsciente.


En résumé: par quelque bout qu'on prenne les motifs interprétatifs organisant l'examen, par Baldanders, de la structure des phrases, ils se réduisent à la forme logique suivante, contradictoire et circulaire: "S. ne veut pas dire ce qu'il veut dire, il n'a pas l'intention de dire ce qu'il a l'intention de dire."


( Notons au passage les motivations de psychologie de bazar ou de sitcom inconscients qui organisent la "lecture" de Baldanders: désir de gloriole, se tresser des lauriers, se donner un beau rôle, être le premier de la classe, stigmatiser l'infidélité d'amis disparus, etc. Motivations on ne peut plus plausibles, à l'origine d'un tel texte. Car bien idolâtre et aveuglément servile serait celui s'obstinerait à penser qu'un Sartre, tout penseur intéressant qu'il fût, n'était pas lui aussi agité de pied en cap par des stimulations qui font le sel de la star-academy, ou du Loft, ou de Quizz divers et variés. Combien petits sont ceux qu'on fantasme grands, voilà le grand message profond qui nous est délivré pour notre instruction: ils ne rêvent, même reconnus, célébrés, encensés, au faîte de la "gloire", qu'à plus de reconnaissance, célébration, admirations encore. Et tous les moyens sont bons! C'est le hochet des vanités humaines, m'sieur. Comme je vous l'dis!)



Ainsi, de deux choses l'une, aussi absurdes l'une que l'autre sur le seul plan des "motivations", consciente ou inconsciente:


1. Soit S. a bien l'intention de se tresser des lauriers sur le dos de MP, et c'est bien ce qu'il fait (dans la logique psychologique pré-supposée par b), exprime, dans une tournure rhétorique précise consistant à dissimuler son propos pour mieux le mettre en valeur - Et dans ce cas, foirage de la stratégie sur toute la ligne: en suggérant par ce procédé rhétorique classique sa propre valeur, il exprime tout au contraire son peu de valeur, son humaine mesquinerie.

2. Soit S. est agi par une "motivation inconsciente" de se tresser des lauriers sur le dos de MP; il n'a pas l'intention de l'exprimer. Mais ça ressort inconsciemment des éléments du discours, qui machine à son insu, sans son consentement, sans sa volonté, exactement cette même tournure rhétorique précise ne pouvant, dans sa structure même, concertée, que dissimuler elle aussi son propos pour mieux le mettre en valeur. - Et dans ce cas, foirage encore plus énorme de cette stratégie ou motivation inconscientes: en cherchant à occulter son propre éloge ainsi que le blâme qui lui est latéralement associé, le Texte l'exprime à sa place pour exhiber un résultat strictement identique: l'expres​sion(non consciente) de son peu de valeur, son humaine mesquinerie.

Même en accordant la foi la plus inextinguible du charbonnier, à une théorie freudienne, para-freudienne, freudo-lacanienne, et autres, généralement post-structuralistes, de l'Inconscient, mais aussi de l'Inconscient du texte, on ne peut absolument pas interpréter en termes de stratégie, désir, motivation inconscients - opérant dans le dos et l'insu du scripteur - des tournures phrastiques précises et concertées, de l'ordre de la rhétorique dont il est ici question, et qui est une logique de l'intention et de la délibération.
Si l'inconscient selon Lacan est structuré comme un langage (ce qui revient aussi à dire qu'il n'est pas purement et simplement un langage, sans reste), organisation de signifiants dotés d'une certaine autonomie qui échappe au proférateur ou au scripteur, il ne l'est pas au point - quand-même! - d'élaborer tout seul des tournures stylistiques, grammaticales, complexes, ressortissant de l'art consommé de la rhétorique, et destinées à dissimuler pour mieux exhiber.
Ce qui est l'exact contraire de ce qu'on nomme les stratégies de l'inconscient (brouiller le motif, le rendre inintelligible, non déchiffrable. Même si s'échappent, par des retours malvenus, des scories langagiers, gestuels, etc, qui révèlent des aspects de ce qui aurait dû rester refoulé du champ de conscience).

Tout au plus "l'inconscient" d'une formulation, si on croit à l'hypothèse de l'inconscient, peut influer sur des constructions indésirables, non voulues, sous formes de dénégations, déplacements, lapsus signifiants, etc (par ex: "la séance est close", au lieu de dire "la séance est ouverte") - et toujours soumises à l'autorité interprétative de l'analyste, susceptible d'indiquer que le refus par l'analysé d'acquiescer à cette dernière est une opération de résistance qui confirme la justesse de ladite interprétation. (D'où la critique, par Popper et d'autres, du "bouclier" ou "verrou" d'infalsifiabilité dont s'entoure certaine pratique psychanalytique pour "intégrer" tout élément, schéma, externes à sa théorie, la contrariant, comme déjà inclus dans cette dernière).

Dans le cas de figure, rien de cet ordre qui puisse être convoqué ou exercé sur le texte à titre de "matière inconsciente" s'offrant à une interprétation. Mais au contraire, un pur jeu rhétorique d’interprétation, sans valeur heuristique, uniquement fondé sur des pré-suppositions psychologiques anté-textuelles constituant l'horizon de lecture, et, avant elles, le postulat, qui est un contresens massif, d'un inconscient-conscient, d'une intention-non intentionnelle, d'une volonté-involontaire, etc.

On peut encore montrer, point par point, par l'exemple, que dans la décision par B. d'interpréter les éléments précis des phrases dans le sens précis qu'il dégage, il se fonde quasi-exclusivement, pour chaque occurrence "lue sans interprétation préalable" sur cette antinomie logique consistant à postuler en même temps, à la fois, de façon purement contradictoire, l'intention ET la non-intention, le délibéré ET le refoulé, le volontaire Et l'Involontaire. Et ce ne sont pas ces distinctions ou nuances d'apprêt entre "déguisement voilé', "à peine voilé, etc, qui résorberont cette contradiction logique, majeure, massive et manifeste: quelle que soit la forme du "déguisement" ici considéré, il appartient, dans la logique même de la lecture de B., aux effets rhétoriques les plus classiques, impliquant tout le contraire d'un rapport, même vague, avec celui d'un Inconscient en travail, textuel ou non textuel.

Ce sera l'objet d'une ultime mise à plat, laborieuse autant que fastidieuse. Car il est utile, sain, peut-être, de ne pas laisser les gens s'enfermer à double-tour dans leurs paralogismes auto-validés. Sauf s'ils tiennent, bien sûr... Et nous-autres, on passera son temps de façon plus profitable, à peigner les girafes.


On prendra le temps, peut-être, mais on y arrivera - ou pas. A moins bien sûr que la police ne vienne m'arrêter, dans les prochains mois, pour harcèlement moral, cruauté sadique, envers personne psychologiquement fragile, manipulée par les "forces de l'inconscient".



Quant à Kuni, le brav'Kuni, il ne parvient toujours pas à retenir un peu l'attention, hélas.


(légèrement réédité, ce lundi 15 à 0:15, pour plus de clarté & précision. Avec des redondances voulues, selon le précepte pédagogique: pour mieux faire comprendre un raisonnement, ne pas hésiter à le répéter sous différentes formes et modulations, mais aussi variations du même énoncé.
A l'attention des archivistes rompus au bel art de la réplique "terme à terme".)


Et ici sans spoiler, juste toi bien beau en place seul en vue. Le nec plus ultra du réarrangement "c'est moi le plus fort". Merci qui?
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Kuni l'hungus
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MessagePosté le: Sam Avr 06, 2013 4:41    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
« Le vrai visage des cinéphiles », « séquence navrante »… On comptait, lundi 1er avril, plus d’une centaine d’articles consacrés à l’expulsion, dans la soirée de samedi, de l’académicien et philosophe Jerzy Pericolosospore du forum enculture.

C’est sur ce forum que se tient depuis plusieurs années un mouvement contre, entre autres, la cinéphilie officielle des revues spécialisées. Indignation, regrets, colère : les internautes sont nombreux à évoquer l’histoire. Sans toutefois accorder beaucoup d’importance au déroulé de la soirée.

1. Que s’est-il passé ?

M. Pericolosospore est arrivé sur le forum dans la soirée. Mais, contrairement à ce qu’on peut lire un peu partout, il n’a pas été agressé d’emblée.

Plusieurs témoignages – notamment celui d’une participante à la shoutbox – informent qu’il a pu assister à une assemblée générale et discuter durant un bon moment. Selon d’autres témoignages, il serait resté « plus d’une heure » avant d’être pris à partie.

C’est en repartant qu’il aurait été interpellé par des participants.

M. Pericolosospore est en train de discuter avec un homme qui tente de le convaincre de l’intérêt du forum et du fait qu’il a « le droit d’être là ». Le philosophe ne semble pas particulièrement inquiet ou physiquement menacé, mais on lit parfois des messages tels que « Jerzy est un sophiste » et « Il veut montrer son gros zizi », des paroles qui le conduisent à répondre « Révisionnistes ! » à ses interlocuteurs.

À un certain moment, on peut voir le philosophe répondre à Kuni : « des fantasmes débiles personnalistes, psychologistes, voilà tout ce à quoi on a droit ici », suivi d’une insulte, qui a fait le bonheur des réseaux sociaux lundi.

2. M. Pericolosospore a-t-il reçu des crachats ?

« Je me suis fait cracher dessus », a déclaré M. Pericolosospore en quittant le forum. De nombreux éditorialistes du site FilmdeCulte se sont depuis indignés, tout en s'interrogeant quelque peu sur l'équilibre mental de leur ami qui, après réflexion, peut difficilement se faire cracher dessus par des interlocuteurs virtuels...

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Kuni l'hungus
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MessagePosté le: Sam Avr 06, 2013 12:15    Sujet du message: Répondre en citant


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