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Pour en finir avec Jerzy P comme Perdu Pervers Perrave, pêle-mêle
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Baldanders
dans le coma profond


Inscrit le: 23 Déc 2010
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MessagePosté le: Ven Déc 16, 2011 11:19    Sujet du message: Pour en finir avec Jerzy P comme Perdu Pervers Perrave, pêle Répondre en citant

UN GARS D’ENCULTURE, entrant : Apprenez la grande nouvelle. Jerzy P va repasser.
UN AUTRE : J’en sais bien d’autres. Je viens du forum des Spectres où j’ai vu emporter les corps de plus de trois cents cinéphiles et de cinq cents étudiants en philosophie qu’on a tués, et il paraît qu’on a doublé les devoirs à faire et que Jerzy P viendra les ramasser lui-même.
TOUS : Grand Dieu ! qu’allons-nous devenir ? Jerzy P est un affreux sagouin et sa famille est, dit-on, abominable.
UN GARS D’ENCULTURE : Mais écoutez : ne dirait-on pas qu’on frappe à la porte ?
UNE VOIX, au-dehors : Cornegidouille ! Ouvrez, de par ma merdre, par saint Jean-Paul, saint Jean-Louis et saint Gilles ! ouvrez, sabre à philo, corne philo, je viens chercher les devoirs !
La porte est défoncée, Jerzy pénètre suivi d’une légion de spectres.
JERZY P : Qui de vous est le plus bavard ? (Un gars s’avance.) Comment te nommes-tu ?
LE GARS : Baldanders.
JERZY P : Eh bien, cornegidouille, écoute-moi bien, sinon ces messieurs recopieront tes messages dans leur forum. Mais, vas-tu m’écouter enfin ?
BALDANDERS : Mais Votre Flatulence n’a encore rien dit.
JERZY P : Comment, je te parle de Sartre depuis une heure. Crois-tu que je vienne ici pour prêcher dans le désert ?
BALDANDERS : Loin de moi cette pensée.
JERZY P : Je viens donc te dire, t’ordonner et te signifier que tu aies à produire et exhiber promptement ta philo, sinon tu seras massacré. Allons, messieurs les spectres de philo, voiturez ici le voiturin à filo.
On apporte le voiturin.
BALDANDERS : Sire, nous ne sommes pas étudiants en philosophie, moi-même j’ai cessé d’étudier cette discipline en terminale.
JERZY P : C’est fort possible, mais j’ai changé le gouvernement et j’ai fait mettre partout où c’était possible qu’on ferait des devoirs de philo. Avec ce système, j’aurai vite fait fortune, alors je tuerai tout le monde et je m’en irai.
LES GARS D’ENCULTURE : Monsieur Jerzy, de grâce, ayez pitié de nous. Nous sommes de pauvres geeks.
JERZY P : Je m’en fiche. Grattez du papier.
LES GARS D’ENCULTURE : Nous ne pouvons pas, nous avons arrêté l’école.
JERZY P : Grattez ! ou ji vous mets dans la poche avec supplice et décollation du cou et de la tête ! Cornegidouille, je suis le meilleur peut-être !
LES GARS D’ENCULTURE : Ah c’est ainsi ! Aux armes !
JERZY P : En avant, messieurs des philos, faites votre devoir.
Une lutte s’engage, le forum est détruit et le bavard Baldanders s’enfuit seul à travers la plaine. Jerzy reste à ramasser la philo.
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Baldanders
dans le coma profond


Inscrit le: 23 Déc 2010
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MessagePosté le: Sam Déc 17, 2011 3:11    Sujet du message: Répondre en citant

Lisons l'élève Jerzy, qui ne voit rien fâche dans ces phrases, mais alors rien de rien.

Jerzy P a écrit:
Il est encore là, le monsieur qui rebondit partout dans la pièce avec le ressort tzooing tzooig-ng ? Parce que, bon, ça fait peur hein.

Alors, on peut lire la phrase, maintenant ?
(02:14:19) (978109): Que d'amis j'ai perdus qui vivent encore. Ce ne fut la faute de personne : c'étaient eux, c'était moi ; l'événement nous avait faits et rapprochés, il nous a séparés. Et Merleau-Pon​ty, je le sais, ne disait pas autre chose quand il lui arrivait de penser aux gens qui hantèrent et quittèrent sa vie. Il ne m'a jamais perdu pourtant, il a fallu qu'il meure pour que je le perde.
(02:15:00) (978109): y a t-il un seul problème dans cette phrase. Ou dans les autres.
(02:15:13) (978109): Que dit Sartre?
(02:16:23) (978109): Il se recueille devant la tombe d'un ami, mort avant lui. Il est triste parce qu'il a perdu cet ami avant que cet ami meurt
(02:16:35) (978109): ça, c'est quelque chose de triste
(02:17:31) (978109): alors, Sartre ajoute: il y a dans l'amitié, dans la nature de l'amitié, de la séparation
(02:24:23) (978109): qui ne s'explique pas davantage que la rencontre. C'était lui, c'était moi. Pourquoi chercher une explication​? Y a t-il une faute à expier, est-on coupable de quelque chose, est-on responsable d'une amitié qui naît, comme d'une amitié qui s'éloigne? Non, l'amitié c'est une liberté. Les amis, même absents, ne se perdent jamais. Ils se hantent les uns les autres. Il y a un deuil porté de l'amitié, même du temps des amis absents encore vivants,et ce deuil fait partie de l'amitié. Sinon y aurait pas de deuil.
(02:24:39) (978109): Ensuite, que dit-il?
(02:26:27) (978109): il dit que leur amitié ne s'est jamais perdue, même dans l'absence, de leur vivant. Mais maintenant que MP est mort, il l'a perdu, cette fois pour de bon.
(02:26:3Cool (978109): Où est le problème?
(02:27:27) (430106): ...


Sartre a écrit:
Que d'amis j'ai perdus qui vivent encore. Ce ne fut la faute de personne : c'étaient eux, c'était moi ; l'événement nous avait faits et rapprochés, il nous a séparés. Et Merleau-Pon​ty, je le sais, ne disait pas autre chose quand il lui arrivait de penser aux gens qui hantèrent et quittèrent sa vie. Il ne m'a jamais perdu pourtant, il a fallu qu'il meure pour que je le perde.


Jerzy P a écrit:
Que dit Sartre?Il se recueille devant la tombe d'un ami, mort avant lui. Il est triste parce qu'il a perdu cet ami avant que cet ami meurt
ça, c'est quelque chose de triste


Oui, c'est triste, mais c'est faux. Sartre n'a pas perdu son ami avant qu'il meure, mais quand il est mort. C'est tout le sens premier, primaire, évident, banal, de ces phrases. Il ne m'a jamais perdu pourtant. Jamais veut dire jamais, pas un jour.

Sartre a écrit:
Que d'amis j'ai perdus qui vivent encore. Ce ne fut la faute de personne : c'étaient eux, c'était moi ; l'événement nous avait faits et rapprochés, il nous a séparés. Et Merleau-Pon​ty, je le sais, ne disait pas autre chose quand il lui arrivait de penser aux gens qui hantèrent et quittèrent sa vie. Il ne m'a jamais perdu pourtant, il a fallu qu'il meure pour que je le perde.


Jerzy le filosofe a écrit:
alors, Sartre ajoute: il y a dans l'amitié, dans la nature de l'amitié, de la séparation


Non, pas "alors". "Alors" veut dire "ensuite", et ce que tu viens de paraphraser vient avant. Sartre commence par dire qu'il y a, entre amis, de la séparation, puis il en vient à Merleau-Ponty. T'es pas rigoureux, mec. Tu désordonnes, ce qui naturellement t'empêche de lire comme il faut.

Donc, Sartre commence par parler de perte d'amis vivants, justifiant cette perte par la phrase fameuse de Montaigne. Ensuite ?

Sartre a écrit:
Que d'amis j'ai perdus qui vivent encore. Ce ne fut la faute de personne : c'étaient eux, c'était moi ; l'événement nous avait faits et rapprochés, il nous a séparés. Et Merleau-Pon​ty, je le sais, ne disait pas autre chose quand il lui arrivait de penser aux gens qui hantèrent et quittèrent sa vie. Il ne m'a jamais perdu pourtant, il a fallu qu'il meure pour que je le perde.


Jerzy l'ontologiste a écrit:
Sartre ajoute: il y a dans l'amitié, dans la nature de l'amitié, de la séparation qui ne s'explique pas davantage que la rencontre. C'était lui, c'était moi. Pourquoi chercher une explication​? Y a t-il une faute à expier, est-on coupable de quelque chose, est-on responsable d'une amitié qui naît, comme d'une amitié qui s'éloigne? Non, l'amitié c'est une liberté. Les amis, même absents, ne se perdent jamais. Ils se hantent les uns les autres. Il y a un deuil porté de l'amitié, même du temps des amis absents encore vivants,et ce deuil fait partie de l'amitié. Sinon y aurait pas de deuil.


Tu parles de faute, comme s'il était naturel de parler en ces termes. L'idée de faute implique celle de responsabilité, qu'avec poésie tu noies sous des points d'interrogation et des jolies figures comme la naissance (d'une amitié) ou l'éloignement (de l'ami).
Puis, tu fais dire au texte ce qu'il ne dit pas, à savoir que "les amis ne se perdent jamais", qu' "ils se hantent". Là, tu parles de toi peut-être, de ton expérience, un conseil : évite de trop plaquer tes émotions sur un texte que tu prétends paraphraser platement. Car à la fin, ce texte n'a plus rien à voir avec ce que tu lui fais dire.
Tu continues sur le "deuil porté de l'amitié". Idem : rien à voir. La suite ?

Sartre a écrit:
Que d'amis j'ai perdus qui vivent encore. Ce ne fut la faute de personne : c'étaient eux, c'était moi ; l'événement nous avait faits et rapprochés, il nous a séparés. Et Merleau-Pon​ty, je le sais, ne disait pas autre chose quand il lui arrivait de penser aux gens qui hantèrent et quittèrent sa vie. Il ne m'a jamais perdu pourtant, il a fallu qu'il meure pour que je le perde.


la blessure ouverte a écrit:
Ensuite, que dit-il? il dit que leur amitié ne s'est jamais perdue, même dans l'absence, de leur vivant. Mais maintenant que MP est mort, il l'a perdu, cette fois pour de bon.


Non, il ne dit pas que leur amitié ne s'est jamais perdu. Lis mieux. Il écrit précisément : Il ne m'a jamais perdu pourtant. Ce qui veut dire que lui, Sartre, lui a été fidèle. Ce qui pose la question, en ombre chinoise, de la fidélité de Merleau-Ponty. Oui, parce que Sartre a décrit sa position, qui fut toujours stable, fixe, mais on parle d'amitié, donc d'une relation entre deux personnes, alors qu'en est-il de l'autre pôle de cette amitié, de cette relation ?
Il a fallu... Ton désolé, qui sonne moins comme la tristesse de perdre un être cher que comme un sourd reproche (à qui sait entendre, hein).
Il a fallu qu'il meure pour que je le perde. La perte est du côté de Sartre. Perte de quoi ? La première partie de la phrase garantissait la fixité de la position de Sartre, la deuxième découvre la perte, perte dont la cause est la mort de Merleau-Ponty.
Et alors ? On y arrive, t'excite pas.

Sartre a écrit:
Que d'amis j'ai perdus qui vivent encore. Ce ne fut la faute de personne : c'étaient eux, c'était moi ; l'événement nous avait faits et rapprochés, il nous a séparés. Et Merleau-Pon​ty, je le sais, ne disait pas autre chose quand il lui arrivait de penser aux gens qui hantèrent et quittèrent sa vie. Il ne m'a jamais perdu pourtant, il a fallu qu'il meure pour que je le perde.


pompe à filo a écrit:
Où est le problème?


Tu veux que je te dise ? C'est que Merleau-Ponty n'existe pas dans ce texte. Sauf sous la forme, jetée comme entre parenthèses, d'un savoir (je le sais), savoir de quoi ? De ce que Merleau-Ponty perdait des amis.
Mais sinon, le manque, la part aveugle qui jette une ombre sur cette tristesse surjouée, c'est la question de la fidélité de Merleau-Ponty, fidélité pourtant posée par Sartre comme la seule question de l'amitié.
On lit très bien que Sartre fut fidèle, que perdre des amis ne lui pesait en rien (contrairement à ce que tu blablates avec tes histoires de hantise) puisque "c'étaient eux, c'était moi".
On ne lit pas du tout ce que valait Merleau-Ponty du seul point de vue qui importe, celui de la fidélité.
Or, je me souviens très bien que le texte entier de Sartre était un reproche à peine déguisé de touts les infidélités de Merleau-Ponty à son égard.
Comme quoi, vieux Borges a très bien choisi son extrait, comme on creuse sa tombe.
Alors, Jerzy, tu veux que je te dise il est où ton problème ?


Dernière édition par Baldanders le Mer Avr 24, 2013 14:07; édité 1 fois
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Trollope
dans le coma profond


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Messages: 637

MessagePosté le: Sam Déc 17, 2011 4:10    Sujet du message: Répondre en citant

Baldanders a écrit:

Il a fallu... Ton désolé, qui sonne moins comme la tristesse de perdre un être cher que comme un sourd reproche (à qui sait entendre, hein).
.


ah non c'est triste! je dois lire mal alors mais dans les deux cas c'est triste.
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Baldanders
dans le coma profond


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MessagePosté le: Sam Déc 17, 2011 4:15    Sujet du message: Répondre en citant

Trollope a écrit:
ah non c'est triste! je dois lire mal alors mais dans les deux cas c'est triste.


C'est froid, c'est la main du destin oui, donc c'est froid.
Et pense aux contextes où généralement on emploie cette tournure : par exemple "et il a fallu que ce con-là vienne se jeter contre ma bagnole"...
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Baldanders
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MessagePosté le: Sam Déc 17, 2011 4:27    Sujet du message: Répondre en citant

Remettons le culbuto Jerzy sur ses pattes.

Jerzy a écrit:
quand je dis, là, "alors", "puis", ce ne sont pas des foncteurs logiques ou chronologiques comme dans un syllogisme (mais, or, donc, puisque), mais juste des conjonctions de coordination. C'est un style parlé: ça équivaut à dire "et" ou "alors".


Sauf que, sauf que...

Jerzy a écrit:
alors, Sartre ajoute


Et ce verbe-là, "ajouter", tu appelles ça une conjonction de coordination ?
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Baldanders
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MessagePosté le: Sam Déc 17, 2011 4:32    Sujet du message: Répondre en citant

Jerzy a écrit:
tu comprends rien mais alors du sens des mots utilisés, les redéfinis à ta convenance


Ouais, facile non ? T'as écrit ça les deux mains dans les narines, non ? Parce qu'en attendant, ces phrases, je les ai lues, dans l'ordre, sans les surinterpréter, sans y ajouter des nuages en forme de points d'interrogation, simplement en regardant les rapports qu'impliquent les structures des phrases. Ce qui s'appelle lire, et bien lire.

Et je constate, pour en finir, que tu n'as évidemment rien eu à redire à mon petit commentaire de texte. Ce à quoi je m'attendais puisque depuis le départ il ne s'est agi pour toi que de jouer au paon, pas de discuter de ces phrases, pas d'être sérieux, pas une seule seconde.

Alors, va donc brouter de l'ontologie, qu'est-ce que tu veux qu'il en sorte ? Des rires, au mieux.

Bonne nuit, l'abcès.
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Baldanders
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MessagePosté le: Sam Déc 17, 2011 4:45    Sujet du message: Répondre en citant

Ah mais c'est que monsieur se corrige. Monsieur dit qu'il ne veut pas argumenter avec un fou, mais monsieur s'explique, il chicane, il cherche où est-ce qu'il a pu se planter, parce qu'il s'agit de ça mon gros, d'un beau plantage.

Citation:
Déjà, y a là des problématiques philosophiques qui t'échappent complètement à la base, relatives à la notion de "hantise", sur lesquelles Sartre joue, tissant lui même une métaphore faite de paradoxes


Ouais, la notion. C'est comme la potion, elle fait tout passer ? Elle justifie toutes tes crétineries, peut-être ?

Alors oui, pour jouer, Sartre joue, mais pas en tissant une métaphore, et puis quelle métaphore ?

Citation:
Que d'amis j'ai perdus qui vivent encore. Ce ne fut la faute de personne : c'étaient eux, c'était moi ; l'événement nous avait faits et rapprochés, il nous a séparés. Et Merleau-Pon​ty, je le sais, ne disait pas autre chose quand il lui arrivait de penser aux gens qui hantèrent et quittèrent sa vie. Il ne m'a jamais perdu pourtant, il a fallu qu'il meure pour que je le perde.


Il joue à se donner le beau rôle, Sartre, pas à tisser une métaphore. Il n'y a pas de métaphore dans cette citation. Il y a des mouvements très concrets : on se rapproche, on se sépare, on se quitte, c'est à prendre à la lettre.

Et si on lit bien, c'est-à-dire en prenant ces phrases à la lettre, on peut voir que ces mouvements ne font pas une jolie figure abstraite, ne tissent pas une métaphore, renvoient secondairement à des "problématiques philosophiques qui m'échappent" : ils organisent tout un réseau de responsabilités.
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Baldanders
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MessagePosté le: Sam Déc 17, 2011 12:31    Sujet du message: Répondre en citant

Jerzy a écrit:
Oh misère, j'ai sous-estimé Baldanders.

Il faut reconnaître quand on a tort. Je crois bien que l'analyse de Baldanders est juste, et la mienne pas du tout.

Désolé, Baldanders.

Je dois assumer mon sartrisme sur ce coup là, et ne pas m'enferrer dans ma mauvaise-foi.

Bonne lecture, rigoureuse, pertinente. Rien à dire, je l'ai dans le fion, mon suppo, bien profond. Et le pire, c'est que je suis content. Je viens de faire un petit tour en mer, sur le maine océan, et je trouve que tout le monde, je dis bien tout le monde, est absolument formidable. Toute la smala!



Cependant, j'efface les preuves de ma connerie, à la fois par honte et lâcheté, et je vais me coucher. Je me sens léger, soulagé du poids de ma propre connerie. Merci l'artiste.
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Jerzy Pericolon
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MessagePosté le: Mer Déc 19, 2012 17:26    Sujet du message: Répondre en citant

En attendant la suite de cette passionnante controverse in situ, incluant la démonstration non-tautologique de Baldanders supra :

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Jerzy Pericolon
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MessagePosté le: Mer Déc 19, 2012 19:40    Sujet du message: Répondre en citant

Il faut reconnaître quand on a tort. Je crois bien que l'analyse de Baldanders est juste, et la mienne pas du tout. Ce n'est pas parce que je me suis auto-persuadé, auto-suggestionné, auto-confirmé, auto-validé, dans ma pseudo-démo/lecture (à pisser de rire, réellement) que j'ai démontré quoi que ce soit.

Je suis le roi de la tautologie, je me l'attribue sans jamais buter sur la saisie de ma logique circulaire.

Mais soit, je me suis verrouillé à double tour dans ce placard étanche, bouclier infalsifiable, qu'on appelle aussi une bouteille de Klein :


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Jerzy Pericolon
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MessagePosté le: Mer Déc 19, 2012 20:24    Sujet du message: Répondre en citant

Alors que j'arrivais sur ce forum avec ma toute fraîche démonstration sous le bras, devinez ce qui m'arrive :



Caramba, encore raté !
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Jerzy Pericolon
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MessagePosté le: Mer Déc 19, 2012 20:27    Sujet du message: Répondre en citant

Attendez, je mets la dernière touche à ma 8ème démonstration :

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Jerzy Pericolon
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MessagePosté le: Mer Déc 19, 2012 20:49    Sujet du message: Répondre en citant

De gauche à droite : Zahad le Rouge, Kuni L'Hungus, Jean-Paul Sartre. Cherchez l'intrus.

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usaremafrotte



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MessagePosté le: Mer Déc 19, 2012 20:55    Sujet du message: Répondre en citant


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Jerzy Pericolon
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MessagePosté le: Mer Déc 19, 2012 21:02    Sujet du message: Répondre en citant

Tu oublies Derrida et Kojève, mais j'apprécie.
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