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Oxyure
dans le coma profond


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MessagePosté le: Jeu Mar 11, 2010 8:19    Sujet du message: Répondre en citant



Zatoichi, de Hiroshi Hirata



(petite planche qui n'apporte rien, Razz )

Une adaptation des 13eme et 14eme films de la série originale des Zatoichi.

Un dessin charmant (près de quarantes ans tout de même), ça reste de la très bonne manga seinen. J'ai envie de voir les 26 films maintenant. Qui me prête son coffret ?

Interessant/6

ps : maintenant que j'ai lu tout ce qui avait été traduit d'Hirata en france, je vais lui créer son topic monographique, huhuhuhuhu
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Oxyure. Joue la carte Cow-Boyienn​e de l'obsession

"Liber sed fidelis"
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Zahad le rouge
dans le coma profond


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MessagePosté le: Dim Mar 14, 2010 9:19    Sujet du message: Répondre en citant

Y'a d'l'affaire à s'faire chez Aaapoum Baapoum vers st-michel, Wimbledon Green neuf sous blister à 10 euros, un pack Palomar 1/Palomar 2/Locas 1/Locas 2 pour quarante euros, pis de l'occase vachement cool.

sinon j'y ai acheté hier les Histoires extraordinaires adaptées par Dino Battaglia, c'est beau à crever...
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Carton
dans le coma profond


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MessagePosté le: Ven Mar 26, 2010 21:52    Sujet du message: Répondre en citant



ASTERIOS POLYP de David Mazzucchelli, chez Panthéon.

David Mazzucchelli n’est pas un inconnu des lecteurs de bd de super héros. Dans les années 80, il a dessiné de manière précise et fougueuse le Daredevil Renaissance de Miller, puis le Batman Year One du même Miller, dans un style plus rétro.

(son Daredevil)

(son Batman)


Puis il a disparu du champ de vision des geeks, pour mieux réapparaitre en adaptateur méritant du livre La Cité de Verre de Paul Auster (déjà pour ça c'est un auteur qui m'intéresse, un des rares à refuser le mainstream dans lequel il avait du succès pour tout déconstruire de son style et retrouver une forme qui lui convienne. Ses comics de super héros sont parfaits, mais son travail par la suite respire la liberté et le plaisir de la recherche)
Ce livre fut comme un manifeste. Esthétique d’abord, puisque Mazzucchelli délaissait son style comics pour un style de dessin plus simple, plus rond, plus économique. Editorial ensuite, l’artiste ayant décidé d’abandonner les maisons d’éditions de super héros pour ne plus publier que chez les éditeurs indépendants. Narratif enfin, vu que Mazzucchelli se tournait résolument vers des récits du genre Graphic Novels, intimistes et introspectifs. Il s’inscrivait alors dans la filiation d’écrivains américains du genre de Paul Auster, Phillip Roth ou John Irving, des histoires de personnages complexes à la vie édifiante et multiple, avec des thèmes du genre la famille, la renaissance, la vie en couple, la recherche d’absolus, le destin, tout ça quoi. Une littérature populaire de qualité, qui travaille principalement sur des parcours de vie atypique.

C’est exactement le cas du livre Astérios Polyp, qui raconte la vie du héros éponyme, architecte « de papier », c'est-à-dire théorique, n’ayant jamais construit aucun de ses projets mais jouissant d’une belle renommée. L’histoire démarre lorsque la foudre frappe son appartement, y mettant le feu. Astérios, dans la précipitation, n’emporte que 3 objets. On suivra son évolution au contact de différents personnages, sa femme, d’autres artistes, une famille accueillante perdue dans l’Amérique profonde… s’ensuivent des discussions et des considérations sur la vie et l’amour, l’art et la monde. Mazzucchelli trouve une solution graphique intéressante à la représentation de ces personnages et de leurs conceptions du monde : chacun se voit distribué un format de phylactère et un type de police différente, de telle sorte que chacun fasse entendre sa « voix » singulière. Parfois, c’est aussi un type de dessin particulier, crayonné, symbolique, formes de base (sphère, rectangle, triangle), ainsi qu’une couleur (bleue pour Asterios, rouge pour sa femme…).




Le terme d’ «architecte de papier» vaut surtout pour l’auteur, qui semble s’inscrire dans la droite ligne d’artistes comme Ware ou Seth, qui sont ceux qui rapprochent le plus la bande dessinée de l’architecture. Disons qu’il y a les auteurs du flux (Sfar, Hernandez, Pratt), les auteurs de la syncope (les spécialistes du strip, Trondheim, Mattioli), ceux de l’agencement (David B, Fred), les tâcherons de la superposition (ceux dont on ne voit que l’utilisation appliquée du scénario recouvert par le storyboard recouvert par le crayonné recouvert par l’encrage recouvert par la mise en couleur)… et il y a les architectes.
Gestion de l’espace, fabrication de micro lieux qui communiquent par systèmes, mise en évidence des verticales et des horizontales, gestions du rythme par l’art des pleins et des vides, jeux sur les dimensions de cases, et un dessin volontiers géométrique, ligne claire qui flirte avec l’abstraction ou le dessin industriel (dans le cas des trois exemples d’auteurs cités, la référence à l’architecture est, il me semble, complètement affirmée de manière plus superficielle: Ware travaille sur ses Building Stories qui s’attachent au point de vue d’un immeuble à travers les âges, Seth ponctue son dernier récit de photos de maquettes des immeubles où se passe son histoire, et donc Mazzucchelli qui prend pour personnage principal un architecte de papier. Ces clins d’œil de surface sont clairement des indices sur les mouvements qui travaillent leurs œuvres à un niveau plus profond).

C’est certainement une des tendances les plus excitantes de la BD américaine aujourd’hui, d’autant plus passionnante qu’elle réussit de plus en plus à intégrer une dimension sensible et à créer de fortes émotions sans jamais abdiquer ses principes esthétiques. Il faut lire George Sprott de Seth ou l’Acme Novelty Library n°19 de Chris Ware pour se rendre compte de la puissance romanesque et émotionnelle de ces récits.
Astérios Polyp est peut être plus mineur. Plus répétitif dans ses procédés, et puis une petite touche en trop de Puppet Master dans l’attitude de l’auteur. Mais enfin ça reste une belle réussite, avec de très belles idées de personnages et de situations, une jolie richesse dans le récit, et une maîtrise incontestable de son trait et de sa technique narrative. Couleurs splendides par ailleurs. Peut être pas un chef d’œuvre, mais un beau livre ça c’est sûr.
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Oxyure
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MessagePosté le: Ven Mar 26, 2010 23:01    Sujet du message: Répondre en citant

J'aime beaucoup ton(/ta tentative ?) de classement des auteurs... je sais pas si cette classification est de toi ou tirée d'une de tes lectures théoricienne mais si elle n'est pas à proprement parlé naturelle, je trouve qu'elle reste néanmoins assez séduisante, trop peut être.

N'est ce pas réducteur de parler "d'architecte" pour ces trois adeptes d'un trait simple qui tendrait vers la ligne claire ? Stanislas est il architecte ou ingénieur ?

Pour revenir à Asterios Polip, je ne suis pas sur d'adhérer à quelques choses d'aussi artificiel que cette superposition de graphisme... même si c'est sensé apporter un sens supplémentaire.

M'enfin, faudrait que j'y jette un oeil à l'occasion avant de critiquer.

Merci pour le texte en tout cas.
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Oxyure
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MessagePosté le: Ven Mar 26, 2010 23:02    Sujet du message: Répondre en citant

Par contre, pour quelqu'un qui n'aime pas les supes héros comme moi, je trouve que son batman est assez sublime.
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Carton
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MessagePosté le: Sam Mar 27, 2010 12:42    Sujet du message: Répondre en citant

Oxyure a écrit:

N'est ce pas réducteur de parler "d'architecte" pour ces trois adeptes d'un trait simple qui tendrait vers la ligne claire ? Stanislas est il architecte ou ingénieur ?


Disons que je ne les réduis pas à ça, c'est une manière de faire des catégories pour mettre en avant ce qui les distingue. D'ailleurs je dis "architecte" mais c'est pas réducteur, c'est pas seulement le dessin, mais plus une forme générale, une manière de disposer les cases dans la page, les espaces vides et les espaces pleins, de les mettre en connexion dans des rapports principalement géographiques et géométriques, ça n'est pas le flux d'un récit qui prend le dessus dans la narration par exemple, mais le rythme des interconnexion très spatialisées des cases. Cette idée des cases comme des lieux, mis en connexion avec les autres grâce à une distribution de l'espace de la page et un agencement très réglé et très visible, c'est ce qui me fait parler d'architecture (au sens large).

D'ailleurs on pourrait dire que ça marche avec la bande dessinée en générale, qu'en fait, de ce point de vue, la BD a à voir plus avec l'architecture qu'avec la littérature par exemple. Sauf qu'en bd on dit que les cases entre elles s'articulent. Moi je dis qu'en plus, chez certains, ce n'est pas tant une question d'articulation qu'une question de connexion, c'est à dire avec une idée plus forte et plus prégnante de la structure et du système (là où l'articulation peut se faire de manière plus souple, plus infra, plus jazzy disons, la connexion a quelque chose de plus volontaire et de plus affirmée, de plus rigide peut être aussi).
Et comme ça vient de moi cette idée, bin elle est brouillonne et pas au point, mais enfin j'espère que tu m'as un peu suivi quand même. Désolé si c'est pas clair (d'ailleurs c'est une idée qui me plait bien aussi au stade du brouillon ou de l'intuition, pas très envie de la consolider plus que ça). (du coup, Stanislas je le mets plutôt dans la catégorie des auteurs de la ligne, des auteurs de l'équilibre entre élégance et simplicité, et chez qui l'idée de dessin et l'idée d'écriture se confondent (Hergé, Guibert, Cedric Manche, Baladi))

Oxyure a écrit:

Pour revenir à Asterios Polip, je ne suis pas sur d'adhérer à quelques choses d'aussi artificiel que cette superposition de graphisme... même si c'est sensé apporter un sens supplémentaire.


Alors dans le bouquin c'est vraiment un procédé rare, qui est utilisé que de temps en temps.
C'est vrai qu'il y a quelque chose d'un peu artificiel dans le livre, mais pas tant que ça, et il est plus souvent sincère et touchant formellement. Je te mettrai d'autres pages cette aprèm' quand j'aurai le temps, pour te montrer une autre facette du livre.
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Tetsuo
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MessagePosté le: Sam Mar 27, 2010 13:04    Sujet du message: Répondre en citant

Oxyure a écrit:
J'ai envie de voir les 26 films maintenant. Qui me prête son coffret ?


Il me semble qu'en France seuls 14 films de la série sont sortis, et pas sous forme de coffret. Il y en a des absolument géniaux et d'autre franchement moyens...
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Oxyure
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MessagePosté le: Sam Mar 27, 2010 18:00    Sujet du message: Répondre en citant

Tetsuo a écrit:
Oxyure a écrit:
J'ai envie de voir les 26 films maintenant. Qui me prête son coffret ?


Il me semble qu'en France seuls 14 films de la série sont sortis, et pas sous forme de coffret. Il y en a des absolument géniaux et d'autre franchement moyens...


Cool, j'attendrais ta rétro / ta critique détaillée alors Wink

C'est prévu pour quand tout ça ?
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Tetsuo
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MessagePosté le: Sam Mar 27, 2010 18:21    Sujet du message: Répondre en citant

Moi j'ai pas vu les films depuis 4 ou 5 ans, que j'avais quasiment enchaîné à l'époque, parmi tout un tas d'autres films de chambara, donc c'est très confus dans mon esprit...
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Oxyure
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MessagePosté le: Mer Mar 31, 2010 6:40    Sujet du message: Répondre en citant



Une très belle intégrale du "Baron Noir" de Got & Pettillon vient de sortir.



Je suis sur que Jiko en parle trop bien. Le coup de l'aigle Pompidolien et tout et tout.

Même si de 1976 à 1981, période de publication de ce Baron Noir dans le défunt "Matin de Paris" (Quotidien tendance Nouvel Obs) c'est plutôt Giscard... m'enfin, matte les sourcils de l'aigle mec, si c'est pas pompidolien qu'il faut dire...
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Oxyure
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MessagePosté le: Mer Mar 31, 2010 9:19    Sujet du message: Répondre en citant

Ah, et j'ai oublié de dire que l'excellent :



Dungeon Quest (Tome 2), de Joe Daly

...venait de sortir !

(ma PàL augmente de jour en jour...)
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Zahad le rouge
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MessagePosté le: Mer Mar 31, 2010 9:39    Sujet du message: Répondre en citant

j'espère que c'est moins vain que le 1er tome.
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Zagriban
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MessagePosté le: Mer Mar 31, 2010 9:40    Sujet du message: Répondre en citant

J'aime bien l'idée du "Baron Noir", de vouloir dépeindre -non le terme est trop fort- symboliser les rapports de forces politiques, à la fois de l'époque mais aussi de manière plus intemporelle. Mais il n'y a que ça dans cette BD.
Ce qui est étonnant, c'est que même si à l'origine la publication se faisait en "strips" périodiques, la lecture en une seule intégrale passe quand même très bien.
Une seule chose: je n'ai pas compris la fin (mais y avait-il réelle volonté de faire une "vraie" fin?)
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Carton
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Messages: 1952

MessagePosté le: Mer Mar 31, 2010 9:45    Sujet du message: Répondre en citant

Ce que je disais du Baron Noir sur un autre forum :



LE BARON NOIR de Got (dessin) et Petillon (Scénario), chez Glénat.

Recueil de strips quotidiens parus dans Le Matin de Paris de 1976 à 1981. Un truc assez réussi, bon exemple de strips à l'américaine fait par des français et qui tient la route. Avec aussi une touche de Mafalda dans l'esprit et de Bretecher (période Le Bolo occidental) dans le dessin. Strip politique donc, où le Baron Noir (sorte de représentation giscardienne au visage Pompidolien) terrorise et exploite les pauvres petits moutons qui peinent à résister, entre syndicalistes hypocrites, opposition crocodilienne fantoche et intellectuels éléphant et tortue inactifs.



Certains gags en liens avec l'actualité de l'époque sont devenus un peu flous, et l'ensemble est inégal. Mais le dessin de Got est fantastique et l'ensemble arrive à ne pas faire du surplace et reste dynamique jusqu'au bout. Et puis c'est plutôt drôle. Fin des années 70, le sexe se fait triste. C'est pas vendeur mais c'est comme ça :


_________________
La Quadrature


Dernière édition par Carton le Mer Mar 31, 2010 11:44; édité 1 fois
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Oxyure
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MessagePosté le: Mer Mar 31, 2010 10:07    Sujet du message: Répondre en citant

Sauf que c'est pas GOLO mais GOT Wink
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