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Doctor Who
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Carton
dans le coma profond


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MessagePosté le: Mar Avr 27, 2010 13:17    Sujet du message: Doctor Who Répondre en citant

Résumé des épisodes précédents :

Le Docteur est un extra terrestre de la race des Time Lords, il voyage à travers l’espace et le temps, et il est immortel. Ou plus précisément, il se régénère, et à chaque fois il change de corps et un peu de personnalité. C’est là la grande trouvaille de la série, créée au début des années 60 jusqu’en 1989, puis reprise en 2005 jusqu’à nos jours. L’ensemble se raconte dans la continuité, il n’y a jamais eu de reboot ou de remake, les épisodes diffusés aujourd’hui sont la suite des épisodes d’il y a 50 ans, le changement d’acteur correspondant à chaque fois à une régénération du Docteur.

Cela débouche sur deux principaux effets. Le premier, c’est l’hétérogénéité esthétique. Puisque cohabitent dans le même continuum espace-temps les épisodes des années 60 et ceux des années 2000, il n’y a pas d’homogénéité esthétique dans l’univers de Doctor Who, certains extra-terrestres sont en carton pâte avec un design kitsch, d’autre sont en 3D avec une allure plus moderne. Il n’y a pas de valeur entre les deux, il n’y a pas d’échelle de crédibilité. Les méchants Dalek/boîte de conserve sont aussi réels et concrets pour les personnages qu’une ville futuriste en image de synthèse. Toutes les formes, toutes les textures existent dans l’univers, et c’est paradoxalement une dimension assez « réaliste » de la série.
Ça fonctionne aussi parce que ces différents designs ne sont pas affiliés à une époque diégétiquement parlant. Un robot futuriste (créé dans un épisode des années 70) sera plus cheap ou ringard qu’un soldat de la première guerre mondial (vu dans un épisode des années 2000). Les modes esthétiques ne sont plus affiliées à une époque dans l’univers du Docteur, et le psychédélisme ou le steam punk de jules vernes peuvent très bien être l’avenir de la SF à la Matrix. Il n’y a plus d’avant ni d’après des formes, plus de mode, plus de haut ni de bas. C’est pour cela que le kitsch de la série s’accepte si facilement, c’est qu’elle a une générosité unique, qu’elle accueille tous les styles en son sein et les traite de manière égale, avec le même sérieux (et le même huour), c'est ce qui fait aussi que dans cette SF de salon peut surgir parfois une ampleur de space opéra.

C’est une série qui se paye le luxe d’être très contrastée, à la fois nulle et magnifique, ludique et tragique, kitsch et singulière, bancale et solide, bouffonne et mélancolique.
Et surtout, une des plus belles choses, l’alliance dans le même personnage, parfois dans le même plan, de la nostalgie et de l’enthousiasme, l’angoisse du changement perpétuel, de ce qu’on a perdu, et la persistance du même, la force de ce qu’on ne perdra jamais. Le Docteur change tout le temps, les anciens nous manquent, et en même temps le Docteur est toujours le docteur, et ne changera jamais. C’est le deuxième effet du rapport singulier de la série avec le temps. On a pu le constater avec le premier épisode de la nouvelle saison qui vient de commencer, et qui nous propose de suivre un nouveau Docteur, ou plutôt le même mais différent, d’après sa régénération (la 11ème depuis le début de la série).

Dés le début de l’épisode, on ne s’intéresse qu’à une chose : à quoi ressemble ce nouveau docteur, en quoi est il le même, en quoi est il différent. Il y a toute une excitation autour du manque de ce que l’on perd (Christopher Ecleston et ses « fantastic ! », David Tennant et ses « allons-y ! ») et du désir d’y trouver de la nouveauté. Et aussi le plaisir de la persistance du même, ce en quoi le Docteur ne changera jamais, sa petite folie, son amour immodéré pour les humains, son aversion pour la violence, son enthousiasme cyclothymique, son Tardis, son tournevis sonique…
Bref, on l’observe, on n’attend qu’une chose, c’est d’être conquis, et c’est pas gagné parce que ce Docteur là prend la place d’un précédent qui était très aimé. Alors on joue un peu l’un contre l’autre, Tennant était mieux, moins cartoon, plus sensible, plus classe, moins moche, plus profond… Et il faut tout le savoir-faire de Moffat, le scénariste Show runner de cette saison, pour nous intéresser un peu à l’histoire.

(je raconte un peu, alors spoilers)

En gros, le pitch, un prisonnier extra terrestre s’est échappé d’une autre dimension, le « prisonnier zéro ». Il s’est caché sur la terre, en prenant la forme d’humains (splendide idée, sublime, de l’extra terrestre qui prend la forme d’un homme et son chien, comprenant mal ce qu’il copie, pensant que les deux sont une même identité, un seul être, et du coup imitant mal le réel. L’homme et le chien tournent la tête en même temps, l’extra terrestre se trompe de bouche et fait aboyer l’homme…). Des extra terrestres flics, sorte de flocons géants de la taille d’une maison avec un œil unique en son centre, menacent de faire sauter la terre s’ils ne trouvent pas le prisonnier. Il sera bien sûr trouvé. Mais le Docteur ne s’arrête pas là, que quelqu’un menace la terre, ça ne lui va pas. Il monte en haut d’un toit à la rencontre d’un des yeux géants, et lui pose deux questions.

« la terre a-t-elle fait quelque chose qui justifie qu’on la menace de destruction ? »

L’œil fait alors apparaître devant le Docteur un globe bleu, où défilent des images de la terre, la guerre, les mouvements de foule, les dictateurs (remember Abyss ?)… l’œil géant répond que non (oui parce qu’en fait, évidemment, les petites guéguerres des humains les aliens ils s’en foutent).
Le Docteur pose alors la deuxième question :

« Cette planète est elle protégée ? »

Et là moment magique, possible seulement dans cette série, défilent dans le globe tous les extra terrestres battu durant les 50 ans de la série, les lézards en papier, les robots en aluminium, les guerres interstellaires en CGI, puis tous les visages du Docteur depuis le début, jusqu’au visage du dernier, qui traverse le globe bleu pour faire face à l’œil géant, et lui dire « allez vous en ».
Le flocon de l’espace se casse direct.
Ce que dit cette scène c’est la beauté de l’hétérogénéité de la série, le multiple qui ne fait qu’un, qui englobe tout, l’amour de son propre concept.
On jouait le nouveau Docteur contre l’ancien au début de l’épisode, en une scène, la série nous réconcilie avec lui. Il est le Docteur, il est plusieurs mais il est un, c’est le même avant tout.
Nous voilà rassurés, l’aventure peut continuer.
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Dernière édition par Carton le Mar Avr 27, 2010 20:27; édité 1 fois
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Oxyure
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MessagePosté le: Mar Avr 27, 2010 13:30    Sujet du message: Répondre en citant

EXTERRRMINAAAATE !
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Oxyure. Joue la carte Cow-Boyienn​e de l'obsession

"Liber sed fidelis"
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Carton
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MessagePosté le: Mar Avr 27, 2010 14:37    Sujet du message: Répondre en citant

Pour illustrer le rapport particulier de la série avec le principe de continuité dans le changement, je reposte un mix qui avait été fait du générique de la série et de ses variation avec le temps. Du premier générique des années 60 à celui de 2006.

http://reprises.free.fr/Doctor_Who_-_Regenerations_2006.mp3
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Bite Astrale
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MessagePosté le: Mar Avr 27, 2010 15:37    Sujet du message: Répondre en citant

Le nouveau thème est bon aussi, bourrin.

Et y a un morceau de zique qui TUE dans l'épisode 5x03, quand les nouveaux Daleks débarquent.
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Carton
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MessagePosté le: Mar Avr 27, 2010 16:50    Sujet du message: Répondre en citant

Ah tiens j'ai pas fait gaffe. Et j'ai balancé l'épisode à la poubelle.

D'ailleurs pour l'instant, la qualité se tient. C'est pas génial, mais c'est d'un bon niveau, si ça se maintient comme ça, avec les pics des doubles épisodes, ça sera la meilleure saison jusque là.
(il faut une scène de sexe avec la meuf aussi, mais là j'y crois moins)
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Bite Astrale
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MessagePosté le: Mar Avr 27, 2010 17:04    Sujet du message: Répondre en citant

le yougo' a écrit:
Ah tiens j'ai pas fait gaffe. Et j'ai balancé l'épisode à la poubelle.

D'ailleurs pour l'instant, la qualité se tient. C'est pas génial, mais c'est d'un bon niveau, si ça se maintient comme ça, avec les pics des doubles épisodes, ça sera la meilleure saison jusque là.

Oui, comme je le disais à côté, la série a connu des débuts de saison souvent faiblards, là c'est de bonne tenue (un premier bon, un deuxième vraiment bon, un troisième basique).
J'attends dimanche prochain pour mater le double.

Citation:
(il faut une scène de sexe avec la meuf aussi, mais là j'y crois moins)

Pfoooo elle déboîte.
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MessagePosté le: Sam Mai 08, 2010 23:00    Sujet du message: Répondre en citant

Voilà, double épisode écrit par Moffat, typique, c'est à dire des jolies choses et en même temps j'ai rien compris.

Moffat est bon dans les retournements alambiqués, juste dans le plaisir du compliqué, du pas clair, il y a quelque chose de l'élan pour l'élan, de l'énergie, ça va à 100 à l'heure, le Docteur baragouine en continu pour lui même des phrases stupides et profondes, y'a 10 retournements à la seconde et au moins autant d'approximation et de trucs pas crédibles.
C'est un mouvement rapide, tendu et brouillon, assez jouissif même si des fois on souffre un peu de se dire qu'on capte pas tout.

Il est bon aussi lorsqu'il faut faire une pause dans cette course et ménager une scène d'émotion, ou de dialogue, ou d'adieu. Le Docteur qui laisse la fille avec les yeux fermés, seule, qui dit "je reviens tout de suite" alors qu'il passe son temps à revenir trop tard avec elle, il s'en va, sort du cadre, on reste sur le gros plan de la fille, laissée un peu trop vite, on se dit qu'elle va morfler, et hop il revient dans la seconde, reviens dans le cadre, pour lui redire au revoir, lui redire qu'il revient, mais mieux cette fois, avec plus de sérieux dans la voix.
Ces scènes là Moffat les réussit souvent.

Il est bon aussi pour créer des beaux personnages. River Song, la futur femme du Docteur, mystérieuse et charmante, est un bon exemple. Mais la star, c'est les Weeping Angels. Déjà sur le devant de la scène de l'épisode "Blink" (meilleur épisode des 50 années d'épisodes du Docteur) ils sont encore là, moins mystérieux, plus banals, mais enfin ça reste une belle création, une belle petite mythologie, et quand l'un d'entre eux commence à prendre forme à partir d'une image sur un écran de télé, c'est une belle flippe.
Spoiler:



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MessagePosté le: Dim Mai 09, 2010 2:13    Sujet du message: Répondre en citant

Oui le déur t est bien flippant.
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MessagePosté le: Dim Mai 09, 2010 7:59    Sujet du message: Répondre en citant

lol, trop de drink Jabba ?
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MessagePosté le: Dim Mai 09, 2010 10:56    Sujet du message: Répondre en citant

Jamais trop!
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MessagePosté le: Dim Mai 09, 2010 11:02    Sujet du message: Répondre en citant

Et je viens juste de comprendre que déur t ça veut dire début.
Relol.
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MessagePosté le: Dim Mai 09, 2010 11:12    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai failli préciser Very Happy
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MessagePosté le: Mer Juin 09, 2010 15:46    Sujet du message: Répondre en citant

Dernier épisode en date, pour moi c'est un retour aux fondamentaux du Docteur. Dernièrement, c'était un peu tout le temps le Docteur-dieu maudit-super dark au fond-t'as vu mon fardeau. Là on revient à une aventure plus fraiche, plus "décontractée", avec un poulet de l'espace géant invisible et serial killer. Non pas que la série ait complètement oublié cet aspect là du show auparavant, mais disons que ça fronçait beaucoup les sourcils, qu'un temps c'était excitant mais que maintenant ça pourrait devenir systématique.
Retour au nawak donc, mais un nawak jamais parodique bien sûr, un truc enfantin, un peu de bric et de broc, complètement assumé, on va dire sautillant. De bonnes blagues (le nœud pap', encore), un fond dépressif mais en passant (les larmes de la fille) et ça roule. D'autant plus que la saison confirme sa bonne tenue générale, bien construite et bien filmée (quoique celui ci un peu mou).

Mais surtout, une fois l'aventure terminée, l'épisode continue et prend son temps pour boucler l'histoire avec Van Gogh. Et là, c'est peut être ce que je préfère dans cette série, une très grande naïveté (tout ce qui touche à la peinture de Van Gogh est plutôt cucul), les pieds dans le plat de l'émotion, c'est presque grossier mais c'est très beau, un travelling circulaire sur les larmes du peintre, un ciel étoilé qui se transforme en tableau, ça ose tout dans le premier degré et c'est très fort finalement. Cet épisode venge mon âme d'enfant qui criait à l'injustice lorsqu'il apprenait l'infortune de Van Gogh de son vivant.
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MessagePosté le: Mar Juil 27, 2010 12:48    Sujet du message: Répondre en citant

Fin de cette saison, qui fut vraiment bien. Les doubles épisodes de fin sont souvent ratés chez Doctor Who, là pour la première fois non. Y'a plein de beaux passages, l'alliances des ennemis du Docteur, le gardien légendaire et tout et tout. Marrant comment cette saison apporte un vrai changement dans l'ensemble, là où avant la série avançait en dents de scie (des épisodes grands, d'autre nuls), on a droit à une bonne tenue générale, pas de génie mais toujours une qualité minimum franchement admirable.
J'avais un faible quand même pour cet aspect irrégulier du show, les épisodes magnifiques ressortaient d'autant plus, les épisodes plus faibles on se disait c'est pas grave, c'est Doctor Who. Du coup on la prenait comme elle venait, on l'aimait avec ses qualités et ses défauts. Maintenant on a resserré les boulons, du coup c'est jamais mauvais mais en même temps c'est un peu moins touchant dans l'ensemble.

Pas grave, ça reste une de mes série préférée.
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MessagePosté le: Lun Déc 27, 2010 15:14    Sujet du message: Répondre en citant



Comment ça se fait que ce conte de noël de Dickens fasse autant retour, sous des formes autant différentes ? Depuis qui je suis petit, je l’ai vu passer sous forme de Picsou, de Bill Murray, de Muppets et de Jim Carrey, alors que je ne suis jamais allé le chercher. Scrooge revient toujours, un peu transformé mais un peu le même, toujours au même endroit alors qu’on ne l’attend pas vraiment. Ce conte a tellement été retourné dans tous les sens qu’il ne semble plus n’être qu’une coquille vide, un bocal à clichés, poésie christmas style, dégradée et radotante.
Sauf que là quelque chose fonctionne.
Persistance du même ? Remake et déclinaisons ? Fantômes du futur et voyages dans le temps ? On ne s’en doutait pas mais c’est comme si Dickens avait préparé le terrain pour un christmas spécial du Doctor Who, tellement tout semble évident dans cette transposition. Même la naïveté de l’histoire est parfaite pour la série (y’a-t-il une série aussi premier degré que celle-ci en ce moment ?).
Et puis Moffat a la bonne idée de ne pas en rester à un simple décalage du conte, il s’en sert comme d’une base de départ pour ensuite construire son propre récit et développer ses propres personnages. Alors là, pour une fois, rien à redire, il y a l’invention qu’on peut attendre du scénariste sans les coups de mou et les faiblesses habituelles, c’est souvent très drôle et astucieux, mais surtout l’épisode trouve un joli équilibre à l’intérieur d’un esprit de noël bien gnangnan qui peut rapidement dégouliner ou tomber dans le ridicule. Là ça reste frais et sautillant, avec des percées de poésie whoienne dont je ne me lasse pas.
Tout ça est d’une tenue qui fait plaisir à voir et relance bien l’intérêt pour la saison 6.
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