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Top Interprétations/Incarnations d'acteurs/actrices of All Time
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Mystère Orange
dans le coma profond


Inscrit le: 11 Fév 2010
Messages: 486

MessagePosté le: Sam Avr 03, 2010 0:54    Sujet du message: Top Interprétations/Incarnations d'acteurs/actrices of All T Répondre en citant

Alors c'est simple c'est les interprétations de vos acteurs et actrices favoris qui vous ont le plus marqué ou que vous trouvez les plus importantes de l'histoire du cinéma.

Honneur aux dames, je me limite à 15.
Actrices (dans le désordre):

-Anna Karina dans Alphaville(Jean-Luc Godard)
La plus sublime des actrices dans son plus sublime rôle où elle incarne entièrement dans son bouleversant visage la douleur d'un monde en décomposition.

-Sue Lyon dans Lolita (Stanley Kubrick)
Ou comment sacrifier son équilibre psychique à l'histoire du cinéma. Trouble éternel de l'entre-deux âges.

-Claudia Cardinale dans Il Etait une Fois dans l'Ouest (Sergio Leone)
Il fallait bien que je cite Claudia. Magnifiée par la caméra de Leone, elle est le dernier réconfort resplendissant de nous autres pauvres cow-boys décharnés.

-Naomi Watts dans Mulholland Drive (David Lynch)
Performance totale et bouleversante, l'actrice dans toute sa magnificience dans le plus beau film du monde.

-Laura Dern dans INLAND EMPIRE (David Lynch)
Muse lynchienne 2eme partie. Son interprétation est à l'image du film protéiforme, d'une douceur imparable dans la monstrueuse beauté de l'oeuvre cinématographique la plus importante de la décennie.

-Patricia Arquette dans Lost Highway (David Lynch)
Muse Lynchienne 3eme partie. La muse par excellence, animale et pure, insaisissable, Patricia je t'aime!

-Catherine Deneuve dans Les Parapluies de Cherbourg (Jacques Demy)
Deneuve indispensable. Je choisis celle où l'éclatante beauté de sa jeunesse recèle la plus belle mélancolie. Non je ne pourrais jamais vivre sans toi...

-Mia Farrow dans Rosemary's Baby (Roman Polanski)
Une interprétation d'une subtilité époustouflante, qui vous plonge dans un doute terrifiant jusqu'au générique de fin.

-Jeanne Moreau dans Jules et Jim (François Truffaut)
Eclatante en toutes circonstances, on comprend que Jules et Jim y laissent des plumes.

-Uma Thurman dans Kill Bill (Quentin Tarantino)
Le plus beau personnage de la filmographie de Tarantino selon moi, Uma Thurman lui donne une profondeur inattendue qui tend vers une sublime mélancolie entre deux membres arrachés.

-Leticia Roman dans La Fille qui en savait trop (Mario Bava)
Bon là c'est un peu contextuel vu que je viens de voir le film, mais quelle beauté! Je comprends pas comment on a pu si peu l'utiliser dans le cinéma, alors qu'elle en est une magnifique incarnation, drôle, inquiète et toujours sublime dans le noir et blanc de Bava.

-Gena Rowlands dans Opening Night (John Cassavetes)
Ode à la comédienne, elle incarne à l'instar des Naomi et Laura précédentes toute la beauté du jeu, qui fait naître devant nous la grâce de l'improvisation.

-Eiko Matsuda dans L'Empire des Sens (Nagisa Oshima)
Symbole absolu de l'investissement de l'actrice en tant que corps, présence, et âme.

-Cecilia Roth dans Tout sur ma mère (Pedro Almodovàr)
L'incarnation ultime de la mère-courage comme on dit. Détruite mais d'une force inébranlable, elle est la poutre qui maintien le film et tous ses personnages en cohérence.

-Charlotte Gainsbourg dans Antichrist (Lars Von Trier)
Un top sans citer Antichrist c'est moins drôle. Seule équivalence que j'ai trouvé pour l'instant à l'investissement des acteurs de l'Empire des sens, Charlotte est aussi grande que son père (ou presque). J'aurais pu mettre aussi La Science des Rêves où elle est magnifique.




Chez les acteurs:

-Robert De Niro dans Raging Bull (Martin Scorsese)
On pourrait citer plein d'autres rôles tellement sa carrière fut riche, mais je choisis la plus emblématique de son investissement dans le cinéma, aujourd'hui résolu, mais qui marqua nombre de films de son génie de l'interprétation.

-Al Pacino dans Scarface (Brian De Palma)
Un peu pareil que pour Bob, j'aurais pu mettre ses rôles dans Carlito's Way, La trilogie du Parrain ou Un Après-midi de chien, je choisis finalement le rôle où il m'avait semblé le plus impressionnant, fou et génial jusqu'à en faire mon idole d'adolescent.

-Marlon Brando dans Le Parrain (Francis Ford Coppola)
Le grand Brando qui marque le monde du cinéma dans ce rôle époustouflant de grandeur qui donne un sentiment persistant de vertige.

-Jack Nicholson dans Shining (Stanley Kubrick)
Que dire? La rencontre de deux monstres de cinéma dans un film monstrueux pour un rôle monstrueux qui fout monstrueusement les chocottes!

-Malcom McDowell dans Orange Mécanique (Stanley Kubrick)
Toute l'ambiguïté de la société dans le regard qui de pervers le transforme en victime. Choc absolu de ma jeunesse.

-Charlie Chaplin dans Le Dictateur (Charlie Chaplin)
Le génie comique au service de la parodie la plus couillue de l'histoire du cinéma.

-Burt Lancaster dans Le Guépard (Luchino Visconti)
Choix a priori improbable mais qui semble incontestable tant Burt Lancaster marque de sa présence de Roi fauve déchu sublimement élégant ce chef d'oeuvre indépassable.

-Toshiro Mifune dans les 7 Samouraïs (Akira Kurosawa)
Toshiro Mifune c'est un peu le De Niro japonais, une classe et une présence inimitable perturbées par une folie prête à exploser.

-John Hurt dans Elephant Man (David Lynch)
Performance inouïe, sous l'avalanche de prothèses, John Hurt est le plus humain et élégant de tous, faisant éclater la grâce du monstrueux, la beauté du difforme, chères à Lynch dans un sublime noir et blanc.

-Jeremy Irons dans Faux-Semblants (David Cronenberg)
Le trouble que parviens à trouver Jeremy Irons, dans une subtilité hallucinante d'interprétation entre deux rôles semblables et différents, fait de Faux-Semblants le plus terrifiant des Cronenberg.

-Harvey Keitel dans Reservoir Dogs (Quentin Tarantino)
L'immense Keitel rends service à mon pote Tarantino pour son premier film et fait ressortir in extremis l'humanité de son personnage qui derrière son pseudonyme est le seul à croire en Mr.Orange!

-Christopher Walken dans Voyage au bout de l'enfer (Michael Cimino)
La jeunesse perdue de Walken qui dans ses yeux bleus se désagrège à la recherche du traumatisme originaire. Non n'appuie pas sur la gachette...

-Javier Bardem dans No Country For Old Men (Frères Coen)
Il fallait toute la subtilité de Javier Bardem pour donner corps à cette chimère, figure du mal absolue perruquée que rien n'arrêtera quoiqu'on en dise.

-Tatsuya Fuji dans L'Empire des Sens (Nagisa Oshima)
Si je cite l'une il faut citer l'autre. Grande interprétation, paroxysme là encore.

-Pierre Arditi dans Smoking/No Smoking (Alain Resnais)
4 personnages pour faire éclater le génie théâtral d'Arditi au cinéma. Sabine Azéma n'est pas en reste.
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Mystère Orange
dans le coma profond


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MessagePosté le: Lun Avr 05, 2010 2:43    Sujet du message: Répondre en citant

Up. Bande d'enflures vous allez pas y couper!
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Youkali
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MessagePosté le: Lun Avr 05, 2010 3:02    Sujet du message: Répondre en citant

Kevin Spacey dans Seven. La première fois j'ai fait des cauchemar, si vraiment.

Sinon le cul de Robert downey jr, dans chaque film.
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Mystère Orange
dans le coma profond


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Messages: 486

MessagePosté le: Lun Avr 05, 2010 3:03    Sujet du message: Répondre en citant

lol
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Daubiste



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MessagePosté le: Lun Avr 05, 2010 7:47    Sujet du message: Répondre en citant

Mystère Orange a écrit:
Up. Bande d'enflures vous allez pas y couper!

Désolé, mais chez moi, le processus est trop long : J'élabore mon top et le poste dans le topic dédié. Ensuite, Phèdre, peu satisfait de mon top, m'envoie par MP une contre-proposition. Après, il faut négocier et ça prend beaucoup de temps. Non, c'est vraiment trop le bordel.
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Phèdre
dans le coma profond


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Messages: 1203

MessagePosté le: Lun Avr 05, 2010 9:27    Sujet du message: Répondre en citant

Laughing

Désolé mystère, moi je ferai que les actrices, les acteurs je m'en fous, mais ça prend du temps, je peux pas faire ça comme ça...
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Mickey Willis
dans le coma profond


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Messages: 351

MessagePosté le: Mar Avr 06, 2010 11:37    Sujet du message: Répondre en citant

Classement auquel j'ai jamais vraiment pensé, alors on va essayer mais je vais sûrement en oublier:

Chez les acteurs:

- Michael Madsen, Reservoir Dogs
Bon je sais que ça aura jamais été un grand acteur, mais reservoir dogs c'est un de ces films qui ont lancé ma cinéphilie et j'adore la dégaine de cet acteur.

- Jean-Pierre Léaud, Saga Antoine Doinel
Déjà à 15 ans il avait une énergie et un talent qui sautaient aux yeux. Acteur génial, et évidemment dans cette saga qui l'a fait découvrir.

- Philippe Noiret, Le vieux fusil
Acteur que j'aime partout où je l'ai vu, et dont je trouve la prestation particulièrement poignante ici

- Robert De Niro, Raging Bull

- Jack Nicholson, Vol au dessus d'un nid de coucou
Obligé de le mettre tant je l'ai considéré un temps comme mon acteur favoris. Aujourd'hui j'ai un peu élargi mon champ de comparaison et je serai moins catégorique mais je lui reconnais évidemment une classe indéniable. Bien difficile de choisir un film en particulier, j'aurais pu mettre Chinatown aussi..

- Denis Lavrant, Les amants du pont neuf
J'ai envie de rajouter Boy meets girl et Mauvais Sang aussi. Rarement je me suis autant identifié à un personnage qu'avec Alex. Acteur magnifique mais que je ne connais que chez Carax.

- Willem Dafoe, Platoon
Regard inoubliable.

- Clint Eastwood, Eli Wallach, Lee Van Cleef, Le bon la brute et le truand
En retirer un des trois me semblait un peu maladroit, prestation magnifique qui marche en triangulaire et qui associée à la mise en scène de Leone culmine à une hauteur jamais atteinte, je pense, au cinéma.

- Charlie Chaplin, Le dictateur
L'incontournable

- Klaus Kinski, Cobra Verde
Quel aura ! Même en marchant tranquillement derrière des arbustres il bouffe l'écran, on ne voit que lui. Pas de besoins de discours, de descriptions, sa démarche et son regard suffisent en un plan à exprimer la crainte qu'inspire Cobra Verde aux habitants. Le summum de "l'incarnation" au cinéma.

- Gérard Depardieu, Buffet Froid
Pour finir sur du léger, et, quand même, une merveilleuse performance.


Et voilà, rendez-vous au prochain épisode pour le top des actrices ! Smile
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Mickey Willis
dans le coma profond


Inscrit le: 11 Fév 2010
Messages: 351

MessagePosté le: Mar Avr 06, 2010 11:39    Sujet du message: Répondre en citant

Ah et je mets Arditi moi aussi ! Je savais que j'en oublierai..
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Mystère Orange
dans le coma profond


Inscrit le: 11 Fév 2010
Messages: 486

MessagePosté le: Mar Avr 06, 2010 20:23    Sujet du message: Répondre en citant

Mickey Willis a écrit:

Chez les acteurs:
- Jean-Pierre Léaud, Saga Antoine Doinel
Déjà à 15 ans il avait une énergie et un talent qui sautaient aux yeux.

Ah ouais putain j'aurais pu le mettre au moins pour Les 400 coups. Performance la plus hallucinante d'un enfant/ado acteur je crois (avec disons celle de Haley Joel Osment dans A.I. mais dans un registre totalement différent!)
Mais je ne suis pas fan absolu du film, on expliquera ainsi mon omission.
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Alexia
dans le coma profond


Inscrit le: 10 Fév 2010
Messages: 581
Localisation: Ur

MessagePosté le: Mer Avr 07, 2010 23:09    Sujet du message: Répondre en citant

Super cette idée de topic!
Allez, sans trop réfléchir, les actrices:.

- Charlotte Rampling: dans Portier de Nuit ou Les Damnés, une étrange fleur vénéneuse et fragile à la fois; des yeux inoubliables, une bouche curieusement dessinée, la lèvre supérieure plus charnue que l'autre..belle et singulière, elle n'a rien d'un modèle figé.

- Catherine Deneuve: évidemment! dans Belle de Jour, ou d'autres Bunuel, pour son air convenable qui sait dissimuler des passions non avouables...cette diction rapide et un peu froide me plaît bien.

- Delphine Seyrig: dans L'Année dernière à Marienbad; elle a quelque chose d'insupportable (qui fait qu'on ne l'oublie pas!), et surtout cette voix...qui dit "Moi, j'allais au cinéma..." avec des tons profonds et graves et comme indifférents...ça me fascine.

- Marilyn Monroe: comment ne pas la citer? dans les Misfits, ou Certains l'aiment Chaud... elle chante, elle a une incroyable séduction, pulpeuse en diable, et une immense présence non dénuée d'humour.

- Anna Karina: dans Pierrot le Fou, et tous les Godard, elle a une personnalité inoubliable; on a envie de la connaître, de lui parler...

-Claudia Cardinale: dans Sergio Leone ou fellini, mais vous l'avez déjà dit très bien.

- Ingrid Bergman: dans Les Amants du Capricorne, par exemple; sensuelle, charmeuse, élégante, et affolée... tout ça fait un mélange détonnant.

- Liv Ulman: dans les films de Bergman; j'aime sa présence charnelle, et cette angoisse particulière qui s'incarne à travers elle.

- Shirley mac Laine: dans La Garçonnière, elle a un petit minois adorable, un sourire craquant, elle incarne la naïveté sans prétention d'une simple employée; pas besoin de jouer les vamps, pour elle!

- Silvana Mangano: dans Mort à Venise, ou dans Violence et Passions, très belle, la grande bourgeoise italienne passionnée, un peu lointaine, une actrice qui va bien avec l'univers de Visconti.

Les acteurs, la prochaine fois!
_________________
Thalatta!Thalatta!
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Sarastignac
dans le coma profond


Inscrit le: 12 Fév 2010
Messages: 237
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MessagePosté le: Jeu Avr 08, 2010 0:42    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai l'impression que les snobs de ce forum ont tendance à mésestimer les performances inoubliables de Dominique Lavanant.

Parce-que les images sont plus parlantes que de longs discours :
Spoiler:



_________________
[i:5440001400]Un slip sale svp ![/i:5440001400]
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Krotkaïa



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Messages: 186

MessagePosté le: Jeu Avr 08, 2010 10:00    Sujet du message: Répondre en citant

Alexia a écrit:
-Claudia Cardinale: dans Sergio Leone ou fellini, mais vous l'avez déjà dit très bien.


Plutôt chez Visconti que Fellini, non?
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Krotkaïa



Inscrit le: 03 Mar 2010
Messages: 186

MessagePosté le: Jeu Avr 08, 2010 10:03    Sujet du message: Répondre en citant

Vous aimez tous vraiment Deneuve?
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Phèdre
dans le coma profond


Inscrit le: 09 Fév 2010
Messages: 1203

MessagePosté le: Jeu Avr 08, 2010 10:21    Sujet du message: Répondre en citant

Krotkaïa a écrit:
Alexia a écrit:
-Claudia Cardinale: dans Sergio Leone ou fellini, mais vous l'avez déjà dit très bien.


Plutôt chez Visconti que Fellini, non?


Plutôt chez Zurlini j'ai envie de dire, il lui laisse énormément de place pour exprimer son talent. C'est SON film, La Fille à la valise.
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Pipi
dans le coma profond


Inscrit le: 11 Mar 2010
Messages: 829

MessagePosté le: Jeu Avr 08, 2010 10:32    Sujet du message: Répondre en citant

Phèdre a écrit:
Plutôt chez Zurlini j'ai envie de dire, il lui laisse énormément de place pour exprimer son talent. C'est SON film, La Fille à la valise.

Grave. Là, j'avais carrément l'impression que c'était la plus belle femme du monde.
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