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Jerzy Pericolon en PLS
Inscrit le: 17 Déc 2011 Messages: 39
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Posté le: Mer Déc 19, 2012 21:05 Sujet du message: |
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Moi quand je me connecte sur enculture :

Dernière édition par Jerzy Pericolon le Mer Déc 19, 2012 21:14; édité 1 fois |
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Jerzy Pericolon en PLS
Inscrit le: 17 Déc 2011 Messages: 39
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Posté le: Mer Déc 19, 2012 21:19 Sujet du message: |
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Bonne soirée Baldanders. Rien à dire, je l'ai dans le fion, mon suppo, bien profond. Et le pire, c'est que je suis content. Je viens de faire un petit tour en mer, sur le maine océan, et je trouve que tout le monde, je dis bien tout le monde, est absolument formidable. |
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Kuni l'hungus dans le coma profond

Inscrit le: 10 Fév 2010 Messages: 1789 Localisation: A votre avis? Enfin si je le trouve.
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 0:41 Sujet du message: |
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 _________________ Independent Film!! You know it's like killing babies. [...] If you kill babies and you don't believe in it then that's bad. [...] You know, if you are killing babies and you believe in it, then you are doing something you believe in. |
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Jerzy Pericolon en PLS
Inscrit le: 17 Déc 2011 Messages: 39
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 2:31 Sujet du message: |
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Allo, la boucherie sanzot?
Le problème, ici, n'est pas même Sartre, et depuis le début, bien évidemment. ça pourrait être n'importe quel texte d'hommage ou même une note de teinturier, considérant que des motivations inconscientes se repèrent au seul examen, honnête, sans pré-supposé, pré-jugé ou pré-requis, de la "structure des phrases". Examiner un texte, quel qu'il soit, sans "pré-supposition" aucune, sans horizon de sens, d'interprétation, sans faire jouer tout un réseau complexe, intertextuel, d'écarts et de différences, c'est tout bonnement impossible.
Tu ne t'en rends même plus compte, à force: tu déduis, soi-disant, des "éléments du discours", une motivation inconsciente de Sartre, laquelle est en fait le hors-texte ou le hors-champ, ou plutôt l'intertexte élargi, "psychologique" ici, depuis lequel tu interprètes ces "éléments du discours". Tu tournes donc en rond, inlassablement, parcourant toujours la même boucle close.
Cet horizon de sens "psychologique", tu le tiens bien de quelque part. C'est un lieu commun, bien connu donc. Et c'est cet horizon de sens, de saisie, de compréhension, d'une unité mouvante de signification qui est ici "Sartre", qui nourrit ton obstination burlesque à pratiquer une "psychanalyse" sauvage sur le Texte, la place des verbes, des compléments, voire la ponctuation, etc.
Une seconde contradiction logique patente de cet exercice, c'est aussi bien sûr ceci: tu joues, en alternance, sur ces deux plans qui s'excluent mutuellement:
a) d'un côté Sartre prémédite lui-même, délibérément, intentionnellement, tu n'as cessé de le souligner, d'adresser des reproches voilés, de se tresser une auréole sur un ami mort, etc (il n'y a donc, dans les termes mêmes de ton "explication", aucune espèce de "puissance cachée", de l'ordre de l'inconscient, qui jouerait à l'insu du scripteur: c'est une stratégie consciente). Mais paradoxalement, dans le même temps, b) il est agi par une motivation ou stratégie inconsciente qui opère dans son dos, à son insu, repérable dans l'organisation structurelle des phrases.
C'est donc à son insu mais tout en le sachant, que Sartre place tel verbe ici, tel complément là, pour exprimer un truc qu'il veut dissimuler tout en l'exhibant. Une fourberie consciente qui est inconsciente, et réciproquement, comme dirait Pierre Dac.
Tu appelles ça une LECTURE rigoureuse. J'appelle ça jouer sur les mots, sans fin, dans un délire d'interprétation caractérisée (cad s'auto-confirmant à l'infini).
Le problème, s'il y en a un, et de nature absolument comique, c'est que, telle la chétive pécore, tu enfles, tu enfles, dans un processus très classique de rivalité mimétique, mu par cet unique et essentielle motivation de "prouver", à cette occasion, un million de choses à mon sujet (toutes abominables, et pour cela, bien sûr "refoulées" systématiquement)
Si on s'avise de simplement considérer, sans pré-supposé aucun, d'un œil détaché, dans les éléments de ton discours, la "structure des phrases" donc, la place accordée au "problème" considéré, et celle accordée au "cas Jerzy", j'occupe 3/4 des énoncés, et on dira, bien sûr, que c'est moi qui fantasme cette importance…
Million de choses dont tu fantasmes détenir la clef, depuis que j'ai halluciné, un soir de grande fatigue, que la shout d'enculture était un collectif de psychanalystes se penchant comme autant de fées clochette sur mon petit ego endolori.
Oh, je ne vais pas parler de "refoulement systématique": rien n'est refoulé, ici, on peut le dire sans crainte, mais défoulé à un point maximal.
Aussi, chaque mot, chaque phrase que j'écris, défoule toi dessus, tu ne fais que ça depuis le début. Examine chaque micro-poil de cul aux rayons ultra-violets, exhibe toutes leurs signification cachées, refoulées, l'inconscient du Texte, essore les bien, jusqu'à en extraire tout le jus interne.
Tu en es, je pense, au point obsessionnel de décryptage des forces insanes de l'inconscient-conscient, que même si j'écrivais des énoncés du type "le chat est sur le canapé" ou "le canari a la rougeole": tu te jetterais dessus avec frénésie, y trouverais l'aliment de 50 tirs de mitrailles destinées à en administrer le poison.
Pour le reste: tous les éléments de la genèse de cette controverse hilarante sont présents sur ce forum. Il suffit, comme tu dis, de les LIRE. Mais la manière de les LIRE, bien entendu, dépendra aussi des pré-suppositions, horizons d'interprétation, d'hypothétiques lecteurs qui y trouveraient un micro-atome d'intérêt (autre que psychologique, prouvant une donnée psychologique sur les protagonistes de cet ubuesque dial de sourds), ce qui n'est pas garanti.
Tu auras beau réviser, refaire, à ta sauce, inlassablement, l'historique du bazar, ça ne transformera pas le plomb en or, ni l'urine en vin, ni la rhétorique en argumentation. |
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Jerzy Pericolon en PLS
Inscrit le: 17 Déc 2011 Messages: 39
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 5:34 Sujet du message: |
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Attends, je m'auto-valide :

Dernière édition par Jerzy Pericolon le Jeu Déc 20, 2012 6:39; édité 3 fois |
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Kuni l'hungus dans le coma profond

Inscrit le: 10 Fév 2010 Messages: 1789 Localisation: A votre avis? Enfin si je le trouve.
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 5:37 Sujet du message: |
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N'empêche que ce que je dis à propos de ton zizi c'est bien ce que tu fais. _________________ Independent Film!! You know it's like killing babies. [...] If you kill babies and you don't believe in it then that's bad. [...] You know, if you are killing babies and you believe in it, then you are doing something you believe in. |
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Jerzy Pericolon en PLS
Inscrit le: 17 Déc 2011 Messages: 39
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 8:12 Sujet du message: |
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Par pudeur, ne mentionnons pas Kuni; horripilante petite mouche du coche qui volète en tous sens en espérant retenir l'attention. Pauv'Kuni. |
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Jerzy Pericolon en PLS
Inscrit le: 17 Déc 2011 Messages: 39
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 10:11 Sujet du message: |
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Juste ceci, puisqu'on rapproche de la fin, grâce aux preuves administrées par B. de sa familiarité avec diverses techniques comme l'effacement de post, la réédition, etc.
Citation: |
Sache que j'ai lu ce qui concernait les rapports de M-P et Sartre, et que cet "hommage" de Sartre à M-P, je l'ai aussi lu, et en entier s'il-te-plaît. Donc oui, bien sûr, je partais avec un a priori (en gros : "ces deux-là ne s'aimaient pas beaucoup") que le texte n'a fait que confirmer.
Je n'ai pas inventé ce qui se trouve dans le texte de Sartre : ça y est, et ce qui y est s'explique par les rapports de M-P et Sartre. |
Baldander concède maintenant, sans le concéder, qu'en effet, il partait d'un a priori, un horizon de sens, externe au texte, et que c'est fort de cette donnée extra-textuelle (les rapports MP/Sartre), qu'il examina, - sans présupposition aucune, disait-il avec insistance, et c'est donc FAUX (tout est là) - la structure des phrases du texte de Sartre, laquelle confirmerait cet horizon externe au texte.
Bon OK, je m'embourbe dans la contradiction massive. Mes tours de passe-passe atteignent leur point de non-retour, dans une confusion de plus en plus épaisse. Pardon. |
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Jerzy Pericolon en PLS
Inscrit le: 17 Déc 2011 Messages: 39
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 10:30 Sujet du message: |
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Voilà ce que j'étais en train de faire, avant de me ressaisir :
Je vous demande encore une fois pardon.
Dernière édition par Jerzy Pericolon le Jeu Déc 20, 2012 10:35; édité 1 fois |
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Kuni l'hungus dans le coma profond

Inscrit le: 10 Fév 2010 Messages: 1789 Localisation: A votre avis? Enfin si je le trouve.
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 16:50 Sujet du message: |
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jerzy P a écrit: |
Par pudeur, ne mentionnons pas Kuni; horripilante petite mouche du coche qui volète en tous sens en espérant retenir l'attention. Pauv'Kuni) |
Etonnant tu répondais... jusqu'à ce que tes réponses tombent à plat. Depuis, tu reste simplement à bouder. "boh par pudeur, je m'en fous je fais pas attention à toi". Lol. d'un coup hein. T'as essayé de montrer que j'avais pas les reins manque de bol j'ai eu plus que ça, t'as essayé de détourner manque de bol j'ai répondu au détournement et au sujet initial, maintenant tu fais mine de prendre de la hauteur? Mais lol.
On passe du "bah toi tu sais pas faire des articles de philo de 30 lignes" à "toi-même d'abord tu déformes" puis à "m'en fous je t'écoute plus". Même Baldie- et ce sans entrer dans le contenu de la controverse sur Sartre- a su te montrer que tu continuais de ne pas le lire. Moi c'est tout ce que j'ai à dire c'est pas grand chose c'estponctuel mais tu n'arrêtes jamais de déformer.
Ah, ça et tout ce que j'ai dit sur la recherche de preuves qui t'obsède au point que tu l'installes partout chez l'autre ainsi que le fait que toi tu n'aie spas besoin de prouver... fait qui s'inscrit pourtant dans la même perspective. _________________ Independent Film!! You know it's like killing babies. [...] If you kill babies and you don't believe in it then that's bad. [...] You know, if you are killing babies and you believe in it, then you are doing something you believe in. |
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Jerzy Pericolon en PLS
Inscrit le: 17 Déc 2011 Messages: 39
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 22:13 Sujet du message: |
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De gauche à droite : moi, mon frère, Kuni, sa soeur. Je ne vous le fais pas dire.
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Kuni l'hungus dans le coma profond

Inscrit le: 10 Fév 2010 Messages: 1789 Localisation: A votre avis? Enfin si je le trouve.
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 23:03 Sujet du message: |
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Déjà y a pas de contradiction tant qu'il ne trouve pas une affirmation de ta part dans le sens où Sartre "préméditait". c'est beau de relever des similitudes dans les compléments mais si les sujets et les verbes sont plus les mêmes et si les deux phrases n'ont plus le même sens c'est du vent.
Pour le reste il s'agit d'un montage coupant les points où tu as déjà répondu à l'avance au reproche trop rapide pouvant être fait. (toujours sans entrer dans la question du sens du texte de Sartre). _________________ Independent Film!! You know it's like killing babies. [...] If you kill babies and you don't believe in it then that's bad. [...] You know, if you are killing babies and you believe in it, then you are doing something you believe in.
Dernière édition par Kuni l'hungus le Jeu Déc 20, 2012 23:06; édité 1 fois |
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Jerzy Pericolon en PLS
Inscrit le: 17 Déc 2011 Messages: 39
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 23:09 Sujet du message: |
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Sophisme de kuni: lu et approuvé par Baldanders.
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Jerzy Pericolon en PLS
Inscrit le: 17 Déc 2011 Messages: 39
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Posté le: Jeu Déc 20, 2012 23:20 Sujet du message: |
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Baldanders a écrit: | Ah ah, ça te travaille, hein ? Tu crois tenir une contradiction majeure dans mon discours sans t'apercevoir du plus gros : tu n'as pas lu le texte de Sartre et tu as lu le mien n'importe comment. |
Voilà l'effet que vous me faites tous les deux. Et ça n'est pas qu'une image :
Qu'on me comprenne bien. Ou pas, je m'en cogne. |
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Jerzy Pericolon en PLS
Inscrit le: 17 Déc 2011 Messages: 39
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Posté le: Ven Déc 21, 2012 0:05 Sujet du message: |
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"Il joue à se donner le beau rôle, Sartre" :
il joue inconsciemment à se donner le beau rôle, donc, puisqu'il n'en a nullement l'intention, mais que ça transpire dans la construction même de ses phrases, dont tu montres constamment qu'elle "organisent tout un réseau de responsabilités"
"Non, il ne dit pas que leur amitié ne s'est jamais perdu. Lis mieux. Il écrit précisément : Il ne m'a jamais perdu pourtant. Ce qui veut dire que lui, Sartre, lui a été fidèle. Ce qui pose la question, en ombre chinoise, de la fidélité de Merleau-Ponty."
"ce qui veut dire".
Il faudrait croire qu'on pose "en ombre chinoise" la question de la fidélité de quelqu'un sur lequel on écrit, mais que c'est inconscient: c'est le texte qui pose cette question en ombre chinoise: sartre, lui, ne sait pas qu'il pose cette question indirecte, latéralement, ça lui échappe complètement.
ça lui échappe même tellement qu'il organise un énoncé pour poser, indirectement, en ombre chinoise, une question qu'il n'a pas l'intention de poser, qu'il ne prémédite pas de poser.

Dernière édition par Jerzy Pericolon le Ven Déc 21, 2012 7:57; édité 15 fois |
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